• 14/05/2011 (7)

                14/05/2011 (7)

    Sans interrompre leur baiser, Cameron la porta jusqu’au lit où il la déposa tendrement. Il plana au-dessus d’elle, ses yeux rivés aux siens. Avec un sourire, elle lui caressa la joue droite. Ce fut le déclic. Les lèvres de Cameron suivirent son oreille, sa gorge, puis revinrent à sa bouche, ses dents tirant doucement sur sa lèvre inférieure, sa main remontant le long de sa hanche jusqu’à la poitrine de la femme qui lui faisait perdre la tête.

     

    14/05/2011 (7)

                Les yeux de Cameron étaient graves, emplis de désir, de profonds secrets soudain dévoilés. Son érection était dure contre sa hanche, à travers son boxer. Il lui mordilla le lobe de l’oreille ce qui la fit suffoquer. Elle le sentait jusque dans son entrecuisse et son corps se cambra.

    « Je n’ai jamais cessé de t’aimer Abi ... »

    Il frotta son nez contre le sien. Sa révélation la toucha et elle fondit. Abi tendit la main et la fit courir jusqu’à ses épaules en sentant le frisson qui le parcourrait.

     

    14/05/2011 (7)

    Il grogna et elle l’attira pour le maintenir contre elle. Il enfouit son visage dans son cou, l’embrassa, la suçota et la mordilla avant de faire courir son nez jusqu’à son menton et de s’emparer de ses lèvres, sa langue possédant sa bouche, ses mains parcourant de nouveau son corps.

     

    14/05/2011 (7)

                 Ses lèvres descendirent ... encore ... encore jusqu’à ses seins, leur rendirent hommage en chemin, tandis que les mains d’Abi demeuraient sur son dos et ses épaules, savourant le jeu et les ondulations de ses muscles finement dessinés. Les lèvres de Cameron se refermèrent sur un téton et le tiraillèrent jusqu’à ce qu’il s’élance à la rencontre de sa merveilleuse bouche experte. Abi était haletante. Et son souffle s’accordait au sien.

     

     14/05/2011 (7)

                Les mains de Cameron descendirent vers le sud, vers son ventre, jusqu’à son sexe. Et ses doigts furent sur elle, en elle. Elle gémit lorsqu’il décrivit des cercles et elle rehaussa le bassin pour l’accueillir. « Abi, souffla-t-il ». Il la libéra soudain et se redressa. Il enleva son jean et son boxer, puis soudain l’attrapa complètement par surprise.


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