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    « Bonjour Mira, se présenta Lucius devant la maison d’Eas, aux alentours de midi.

    -          - Bonjour Lucius, entrez je vous en prie. Alors, vous avez des nouvelles sur l’agresseur de ma fille ?

    -          - J’ai posé des questions à toutes les personnes habitants près de l’entrée de la ville, qui auraient pu ou voir quelque chose, mais malheureusement je n’ai rien, avoua-t-il sincèrement désolé.

     

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    -          - C’est bien ce que je redoutais, sinon, la personne serait venu vous voir immédiatement si elle avait des informations à ce sujet, dit-elle en s’asseyant et en invitant le commandant à la rejoindre. Et concernant l’endroit par où seraient passés les voleurs ?

    -          - J’ai fais le tour de la cité en compagnie de quelques soldats, nous n’avons vu aucune brèche. Le seul moyen pour eux d’entrer, aurait été qu’un des nôtres leur ait ouvert la porte.

    -          - Vous voulez dire que nous avons un traître parmi nous ? S’effraya-t-elle.

    -          - J’en ai bien peur … Fronça-t-il les sourcils.

     

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    -          - D’abord, ils agressent votre fille qui est miraculeusement sauvée par son fiancé, puis ils violent ma fille … Mais qu’est-ce qu’ils veulent à la fin ! Craqua Mira en fondant en larme. La pauvre mère de famille en avait assez de tenir, d’être la femme forte de la famille devant ses enfants et son mari toujours absent. Il trouvait quand même le moyen de faire des affaires avec Eleusis alors que sa famille avait besoin de lui !

    -          - Je suis vraiment désolé Mira … L’entoura-t-il de son bras.

    -          - Je ne sais pas quoi faire avec Thétys. Elle ne sort plus de sa chambre. La seule à qui elle parle est votre fille. En plus de ça, Agron est toujours en train de vendre ses produits à Eleusis. Il me dit que c’est pour le bien de la famille mais je vois bien que c’est parce qu’il ne supporte pas de voir sa fille dans cet état ! C’est un lâche !

    -          - Votre mari n’est pas un lâche, il ne sait juste pas quoi faire …

     

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    -          - Pourquoi faut-il toujours que vous vous défendiez les uns les autres, vous les hommes ? Se leva-t-elle en colère. Quand il y a des broutilles vous êtes les premiers à foncer dans le tas, mais quand ça devient vraiment compliqué vous repartez la queue entre les jambes !

    -          - Je … Je ne sais pas quoi vous dire Mira ! Je ne suis pas à la place de votre mari ! Pour ma part, je ne m’enfuirai pas si c’était arrivé à Safia. Je remuerai ciel et terre pour retrouver l’homme qui lui aurait fait ça !

     

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    -          - Votre femme a bien de la chance, alors. Des fois, je me demande si ce n’est pas moi qui porte la culotte … Et navrée de vous avoir crié dessus, je n’aurais pas dû …

    -          - Ce n’est rien, vous êtes à nerf, je comprends … la rassura-t-il en prenant la direction de la sortie. Il faut que j’y aille, ma femme doit m’attendre pour manger.

     

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    -          - Merci d’être passé, même si ce n’est pas pour me donner de bonnes nouvelles. J’apprécie vraiment ce que vous faites.

    -          - C’est mon boulot Mira, de protéger mes concitoyens. Et je vous promets que je finirai par trouver ce traître et qu’il nous conduira au violeur de votre fille. 

    -          - Je l’espère de tout cœur commandant. »


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    « Vous m’avez fait demander Androïmus ? Déclara Anton en pénétrant dans le bureau d’étude du sorcier. En effet, depuis la fin du combat, le roi Axion lui avait fait aménager une salle où il pourrait travailler tranquillement, non loin de la bibliothèque, pour les aider à comprendre où pourrait se trouver les disparus ainsi que pour en savoir plus sur leurs mystérieux ennemis.

    -          - Effectivement. Je voulais te poser quelques questions sur la clairière où tu t’es endormi quand nous étions encore dans la forêt. Tu t’en souviens ?

    -          - Oui.

    -          - Bien. Alors que s’est-il passé quand tu y étais ?

    -          - Rien de spécial, comme je vous l’ai dis, j’ai dormi.

     

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    -          - Pendant trois jours pour la première fois ? N’est pas dupe Androïmus. Etrange, tu ne trouves pas ?

    -          - J’ai … J’ai rêvé de la princesse des Elfes de la Forêt Noire, Eris Undomiel.

    -          - Vous vous êtes parlé ? S’enquit-il immédiatement.

    -          - Euh oui …

    -          - Et ?

    -          - Elle m’a dit qu’elle et les autres disparus avaient survécu. Mais ça ne veut rien dire, c’était seulement un rêve. Mon subconscient souhaite cela par-dessus tout. Je ne vois pas en quoi …

     

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    -          - Au contraire, l’arrêta-t-il en levant les bras. Cela veut tout dire ! Au contraire ! Ce n’était pas un rêve Anton. Tu t’es téléporté, d’une certaine manière, dans un monde parallèle au nôtre. Et c’était la même chose pour la princesse Eris. Heureusement, vous vous êtes tous les deux téléporté au même moment pour pouvoir avoir cette conversation ! C’est incroyable ! Le sorcier était surexcité. Anton ne savait pas quoi faire, c’était la première fois qu’il le voyait dans cet état. On aurait dit un gamin qui découvrait son jouet préféré.

     

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    -          - Euh … Vous en êtes sûr ? Sur quoi vous vous basez ?

    -          - La première fois que je t’ai demandé où tu étais quand tu avais disparu, tu te souviens de ce que tu m’as dit ? … Tu ne voulais pas me dire la vérité. Pourquoi ?

    -          - Je … Je ne sais pas.

    -          - Inconsciemment, tu n’avais pas envie de nous expliquer où se trouvait la clairière. Parce que tu as été choisi Anton, et la clairière ne veut pas qu’on la trouve à part toi.

    -          - Je ne comprends rien à ce que vous me dites, depuis quand une clairière réfléchit-elle par elle-même ?


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    -          - Elle ne réfléchit pas Anton. Elle vit. Et qu’elle est la première chose que fais un être-vivant ? Il survit. Et la clairière t’empêche de dévoiler son emplacement pour éviter que d’autres personnes ne la trouvent car si elle est ici, c’est pour une seule raison. Nos disparus sont passés d’une façon ou d’une autre dans un monde parallèle. Il doit y avoir obligatoirement un moyen d’en revenir. Et je suis persuadé que cette clairière est liée à tout ça. Déjà, nous pouvons communiquer avec ceux de l’autre monde. C’est un bon point. Après, s’ils peuvent revenir par cette clairière, je n’en sais trop rien. Il faut que je fasse des recherches. Il doit y avoir une explication dans la bibliothèque du château. Si la réponse n’y est pas, j’irai chez les elfes du Nord, ils ont une incroyable collection … Tout en parlant, le sorcier faisait les cent pas, donnant presque le tournis au pauvre Anton qui était complètement perdu.

     

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    -            - Attendez, attendez, la clairière est vivante ?

    -          - Simple métaphore … Il y a des forces que nous ne pouvons comprendre jeune homme, lui dit le sorcier. Que même moi et mes semblables nous ne pouvons comprendre.

    -          - Donc si je suis un … un élu. Cela signifie que je peux reprendre contact avec la princesse Eris ?

    -          - Normalement oui, acquiesça Androïmus.

    -          - J’y vais de ce pas alors, déclara-t-il en faisant demi-tour. 

     

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    -          - N’y va pas seul. Demande à tes amis de t’accompagner, mais laisse-moi Alder, j’aurais besoin de son aide si nous voulons comprendre toute cette histoire.

    -          - Très bien. De toute façon, il ne m’aurait pas été d’une grande aide, il n’aurait fait que nous ralentir.

    -          - Bonne chance. Si tu reprends contact avec Eris, prévient-là que nous sommes sur le point de trouver un moyen de les ramener et si jamais ils ont des informations à nous communiquer je suis preneur.

    -          - Très bien. A bientôt, Androïmus, le salua-t-il avant de refermer la porte derrière lui. »


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    Le jeune homme se rendit dans ses appartements que leur avait fournis le roi, à lui et à sa petite communauté. Il les trouva tous, installés dans les différents fauteuils et canapés de la pièce. Certains jouaient aux échecs, d’autres lisaient ou d’autres encore se disputaient comme Savanna et Haldir pour changer …

    « Mais laisse-le donc tranquille ! Gronda Savanna.

    -          - Que se passe-t-il ? La questionna Anton.

     

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    -          - J’ai surpris Haldir en train de mettre du charbon dans le lit de Duncan ! Raconta-t-elle. Et de préparer un seau au-dessus de la porte de sa chambre !

    -          - Tu peux m’expliquer ? Fronça-t-il des sourcils en regardant son ami.

     

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    -          - Oh, c’était juste pour faire marrer les autres. L’ambiance est morose ici depuis la mort de …

    -          - Parce que justement nous venons de perdre une amie ! Lui cria-t-il dessus. Et comment as-tu pu penser que faire chier Duncan nous ferait rire ? Hein ? Il vient de perdre sa sœur jumelle, merde ! Réfléchis un peu !

    -          - Merci Anton ! En fut ravie l’elfe blonde.

     

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    -          - Ou est Duncan d’ailleurs ? Demanda Anton à l’attention de toutes les personnes présentes dans la salle.

    -          - Il erre dans Ambre à mon avis, déclara nonchalamment Neeva qui ne quittait pas son bouquin des yeux.

    -          - Ses parents arrivent quand ?

     

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    -          - Barahir et Luthien ne devraient pas tarder, intervient Fitz. Normalement, avant le dîner. Echec et mat Galdor !

    -          - Rah … Encore perdu ! Râla ce dernier en renversant les pions sur l’échiquier. C’est quoi ton secret ?

    -          - Parce que tu crois que je vais te le dire ?

    -          - L’enterrement est pour quelle heure demain ?

    -          - A 10 heures du matin, lui répondit Alder.

     

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    -          - Très bien, j’ai quelque chose à vous dire, commença Anton. A part Alder, j’aimerais que vous m’accompagniez à la clairière où je me suis endormi pendant 3 jours. Je ne vous ai pas tout dit. D’après Androïmus, cette clairière nous permettrait de prendre contact avec les disparus. J’y ai déjà vu Eris Undomiel et je compte la revoir pour essayer d’en apprendre plus et de trouver un moyen de ramener les disparus. Alder, le sorcier a besoin de ton aide à la bibliothèque. Tu devrais y aller dès que nous partirons demain. Qui est avec moi ?

    -          - Naturellement, acceptèrent en même temps Fitz et Galdor.

    -          - Ça me va, lui dit Haldir. Mais je trouve que c’est une histoire de fou.

    -          - Je préfère rester ici, les derniers blessés ont encore besoin de moi, refusa Neeva.

    -          - J’ai besoin de me changer les idées, donc je vous rejoins, déclara Savanna. Mais à mon avis Duncan ne viendra pas.

    -         - Je ne comptais pas lui demander. Nous devrions le laisser faire son deuil avec sa famille.  Nous partirons juste après l’enterrement. Des questions ? »


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    « Te voilà enfin ! Tu en as mis du temps ! S’exclama Wellan.

    -          - Le temps que je fasse chauffer le bain …, lui expliqua sa femme, Morwen. Nos sources d’eau chaude me manquent chéri. Combien de temps, devrons nous rester ici ?

    -          - Tant que le roi aura besoin de nous et tant qu’on n’aura pas retrouvé Eris et ses amies.

     

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    -          - Ta fille ne nous aura attiré que des ennuis, tu le sais ça ?

    -          - Attends un peu et tu vas voir qu’Hedrin ne vas tarder aussi.

    -          - Je ne pense pas. Ça doit venir de son côté humain.

     

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    -          - Meïwen n’était pas comme ça, grommela-t-il.

    -          - A d’autres. Je m’en souviens tu sais. A ce qu’on racontait, c’était toujours la première à se rebeller et à se moquer des lois. C’est sûrement ça qui t’attirait chez elle non ? Voulut-elle en savoir plus.

    -          - Pas du tout. Tu sais très bien que je suis l’elfe le plus intègre de la Forêt Noire !

     

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    -          - Alors comment as-tu pu briser ton serment et t’enfuir avec une humaine ? Ne comprit pas Morwen.

    -          - Qu’est-ce que tu veux que je te dise ? L’amour ! Je ne sais pas moi ! Meïwen est morte, comment peux-tu en être aussi jalouse ?

    -          - Peut-être parce que justement c’est ton premier amour et que, quand tu as appris que tu devais te marier avec moi, tu t’es enfui avec elle ? Lui rappela-t-elle.

    -          -

    -          - Laisse tomber …

     

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    -          - Il est vrai que j’étais effrayé, confessa Wellan. Je ne t’avais jamais rencontré et mon père m’annonce que j’allais me marier à une elfe du Nord à la prochaine pleine lune ! Alors qu’à ce moment, Maïwen et moi étions déjà fou amoureux l’un de l’autre. Je ne pouvais pas risquer de la perdre, donc nous sommes partis. Nous avons voyagé partout dans le monde jusqu’à ce que son état se dégrade. Et quand elle a accouché, elle a donné sa vie pour Eris. J’étais déchiré, je venais de perdre l’amour de ma vie et elle m’avait laissé tout seul avec un bébé dont je ne savais pas quoi faire ! Heureusement que de vieilles femmes humaines, prises de pitié, m’ont appris tout ce que je devais savoir pour m’occuper d’un bébé. Eris est tout ce qu’il me reste de sa mère, même si c’est de l’histoire ancienne, puisqu’à mon retour, je t’ai rencontré par hasard et tu as su raviver la flamme qui s’était éteinte dans mon cœur. Imagine ma joie quand j’ai appris que tu étais ma promise !

    -          -

     

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    -          - Je t’aime Morwen, reprit-il, et je chéri Hedrin autant que je chéri sa sœur. Vous êtes tout pour moi. Te voilà rassurée ?

    -          - On peut dire ça …

    -          - J’espère puisque nous allons passer l’éternité ensemble, lui sourit-il tendrement avant de l’embrasser. »


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    « Je ne comprends pas pourquoi ta sœur accepte de parler à une inconnue et même pas à sa propre mère ! S’indigna Mira en s’énervant sur sa pauvre vaisselle qui ne lui avait rien demandé.

    -          - Je ne sais pas maman, lui répondit son fils. Peut-être parce qu’elles ont vécu un évènement similaire ?

     

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    -          - Oui … Reconnait-elle enfin. Mais ce n’est pas une raison ! Cela devrait être moi en haut à ses côtés en ce moment ! Et qui nous dit que Safia est en train de l’aider hein ? Qui nous dit qu’elle ne lui raconte pas des horreurs pour l’enfoncer encore plus dans ses tourments ?

    -          - J’ai confiance en Safia, alors arrête s’il-te-plaît. Des fois, je me demande si tu ne devrais pas partir quelque jours pour te reposer … lui conseilla Eas. Cette histoire te met à bout de nerf.

     

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    -          - Et faire comme ton père ? Mais oui bien sûr … grogna-t-elle.

    -          - J’admets que papa est vraiment un lâche et je lui en toucherai deux mots à son retour mais ce n’est pas une raison pour rejeter la faute sur les gens qui aident cette famille !

    -          - Euh … Excusez-moi, se fit entendre une petite voix. »

     

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    La mère et le fils se retournèrent immédiatement pour découvrir Safia, devant les escaliers en compagnie de Thétys.

     

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    « Oh mon Dieu ! S’exclama Mira en se ruant sur sa fille avant de l’enlacer aussi fort qu’elle pouvait et de l’embrasser partout où elle le pouvait.

    -          - Eas, les larmes aux yeux, rigola en la voyant faire. Allons, maman laisse-la respirer …

     

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    -          - Je suis vraiment désolée de vous avoir fait ça … Sanglota Thétys dans les bras de sa mère et de son frère.

    -          - Ce n’est rien voyons, la rassura Mira. Si maintenant tu vas bien, c’est tout ce qui compte …

     

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    -          - Merci, dit Eas à Safia.

    -          - Je ferais mieux de vous laisser maintenant, déclara la jeune femme, ravie d’avoir pu être utile. »


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    C’est les larmes aux yeux, que Haldir, Savanna, Galdor, Fitz et Anton quittèrent Duncan et sa famille pour la suite de leurs aventures. Neeva espérait secrètement qu’ils reviennent tous sain et sauf. Ils avaient déjà perdu quelqu’un et elle ne pensait pas pouvoir supporter une autre perte …

     

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    FIN DE LA MAJ 13 !!

    Comme vous avez pu le remarquer, cette maj traitait principalement des 10 rescapés et de ce qui se passe à Ambre.

    Mais aussi de l'enterrement d'Akane et du prémisse de la suite des aventures d'une partie de la communauté. Vont-ils trouver un moyen de ramener Eris et ses compagnons ?

    Thétys quant à elle, sort enfin de son silence. Espérons qu'elle va reprendre du poil de la bête !

     

     

    Bisous à tous et n'hésitez pas à laisser des coms pour me dire ce que vous en pensez !

     

    Isiis.

     


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    Deux semaines se sont écoulées, le commandant Artertis, Lucius, avait pris l’habitude de rendre visite à Mira, la mère d’Eas et de Thétys. A présent, il était devenu pour elle un confident, un ami à qui parler quand elle n’avait pas son mari à la maison.

     

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    Agron avait fait une visite éclair pour s’assurer que sa famille, et surtout sa fille, allait bien. Voyant que Thétys reprenait du poil de la bête, il avait jugé qu’il pouvait repartir à Eleusis pour poursuivre ses affaires. En effet, il était sur un gros coup et il ne voulait pas rater cette incroyable opportunité ! Ils deviendraient encore plus riches qu’ils ne l’étaient s’il réussissait à avoir ce marché.

     

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    Mira, désabusée, ne faisait plus d’effort pour essayer de le retenir. Ca ne l’étonnerait même pas si elle apprenait qu’il avait quelqu’un à Eleusis tellement il était pressé d’y retourner à chaque fois. Elle ne se rappelait plus la dernière fois qu’ils avaient eu un moment intime, rien que tous les deux. Mis à part, les baisers de bonjour et d’au revoir, ils n’avaient plus aucun geste d’affection l’un envers l’autre.

     

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    C’est pour cette raison qu’elle se sentait enfin revivre quand elle discutait avec Lucius quand il acceptait de rester pour manger un morceau. Elle comprenait que sa propre vie de famille l’empêchait de lui tenir compagnie, mais c’était déjà beaucoup plus que ce que faisait Agron.

     


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