*Morgan*

 J’étais actuellement dans la chambre de Taylor en train de réviser en sa compagnie. Mes pieds posés sur ses cuisses, je le regardais lire un bouquin pour son cour de gestion. Il avait l’air passionné par sa lecture, tellement passionné qu’il n’avait même pas essayé de m’embrasser ou quoique ce soit d’autre. En même temps avec tous les vents que je lui avais mis, il avait finalement retenu la leçon.

Pour capter son attention, je me mis à caresser son entre-jambe avec mon pied. Il n’eut pas l’air de comprendre le message car il ne quitta pas son livre des yeux. Il avait dû croire que je ne l’avais pas fais exprès. J’accentuai mon geste et finalement il tourna la tête dans ma direction et me regarda de ses grands yeux verts étonnés. Je me mordis la lèvre, le sourire coquin. Sans attendre une seconde de plus, il balança son bouquin à l’autre bout de la pièce.  

Lana del Rey - Summertime Sadness

Je posai ma tête sur l’oreiller et plantai mon regard sur le plafond, respirant à fond. Je soupirai de soulagement lorsque je senti le corps chaud de Taylor contre moi. Il s'empara de ma main contre le matelas, sa jambe se glissa entre les miennes et un frisson me parcouru tout le long du corps lorsque je sentis ses lèvres mordiller dans mon cou. Je gémi doucement et soulevai explicitement mon bassin, me pressant contre sa hanche. Il grogna et me maintint immobile sous lui.

Il lâcha ma main et abandonna mon cou, se plaçant désormais juste entre mes jambes et s'attacha à défaire rapidement les boutons de mon chemisier. Me redressant tant bien que mal contre Taylor, j’accrochai mes mains en bas de son t-shirt afin de lui enlever, lui laissant à peine le temps de défaire le dernier bouton de mon chemisier.

Je me rallongeai contre le matelas tandis qu’il caressait mes épaules en faisant glisser le bout de tissu le long de mes bras. Le corps parcourut de frissons, j’attirai à nouveau Taylor contre moi, passant des mains baladeuses dans son dos. J’entourai mes jambes autour de sa taille tout en tentant maintenant de capturer ses lèvres. Mais en vain. Je commençai alors à penser que je ne gagnerai à pas ce jeu-là.

Taylor grogna contre moi et poussa ses hanches contre les miennes. J’en gémi, entre ouvrant la bouche. C'est là qu’il y pénétra directement sa langue, léchant mes lèvres au passage. Je plantai mes doigts dans le crane du jeune homme, le souffle coupé par ce baiser frénétique. Une chaleur étouffante commença à m’oppresser quand Taylor se redressa doucement contre moi tout en continuant le baiser, ses mains venant s'attaquer à ma ceinture. Il la déboucla rapidement et tira mon jean le long de mes jambes.

Je les écartai d'avantage, invitant cet éphèbe à se replacer entre elles. Taylor laissa échapper un grognement d'impatience, il sorti sa langue et lécha tout le long la peau de mon cou. Je soupirai de satisfaction et agrippai mes mains à sa ceinture, tirant vers le bas, sans m'être embêtée à la déboucler avant. Taylor défit lui-même sa ceinture et en profita pour retirer rapidement son caleçon et mon string.

Nous gémirent d'une même voix au premier contact de nos sexes nus pressés l'un contre l'autre. La chaleur de l'un envahit l'autre et, serrant à nouveau mes jambes autour de Taylor, je ne pus m'empêcher d'aller trouver sa bouche de mes lèvres. Je parvins à les effleurer puis Taylor détourna le visage et dans un gémissement, il écrasa ses hanches contre les miennes ; « Ahh, soupirai-je dans une mélodieuse lamentation. » Je n’avais qu’une seule envie, c’était qu’il me pénètre mais ça n’avait pas l’air d’être au programme ...

Je me mordis la lèvre inférieure, tandis que Taylor embrassait avidement ma clavicule, descendant gentiment sur ma poitrine. Je parcouru tout son dos de mes mains, profitant d'une peau douce et chaude sous mes doigts avides et resserra mes hanches entre ses jambes, nichant ma tête dans le creux de son cou. « Taylor ... »

Ma voix, que j’aurais voulue contrôlée, ne put être qu'un gémissement plaintif. En réponse il grogna, la respiration haletante et recommença par plonger sa langue entre mes lèvres. Puis il suça dans mon cou, conscient qu'il pourrait y laisser une marque. Mes talons s'enfoncèrent dans le bas de son dos et sa langue me lécha perversement le cou et la clavicule, laissant une traîner humide sur ma peau.

Il déposa des baisers mouillés jusqu'à ma poitrine, mordillant la peau par endroits, me laissant se tortiller de plaisir sous lui. Sa bouche s'ouvrit juste au-dessus de mon sein et je suffoquai. Il sorti doucement sa langue et lécha le téton déjà durcie ; « Oui..., je gémi dans un souffle caressant les cheveux de Taylor ».

Il lécha à nouveau mon téton, l'embrassant avec envie et, doucement, sa main descendit le long de mon ventre et se mit à caresser mon intimité. Il entreprit de délicieuses caresses, tout en s'attaquant, de sa langue, à mon deuxième téton. Le souffle court, j’étais consciente que je n’allai pas tarder à perdre les pédales.

Je me cambrai sous lui, profitant des sensations tout en me retenant de ne pas hurler pour ne pas alerter ses collègues. Caressant mon entrée sensible, il y inséra son index. Son doigts s'enfonça davantage à l’intérieur de moi et je lui jetai un regard suppliant afin qu’il continue son œuvre. Taylor recula doucement son doigt pour le renfoncer plus rapidement cette fois. Je bougeais et gémissais sous son touché, me resserrant sur ses hanches. D’une main libre, j’attrapai le sexe de Taylor entre mes doigts, heureuse de sentir sa chaleur. Il soupira de plaisir alors qu'il enfonça en même temps, son deuxième doigt à l’intérieur de moi. Il passa une main apaisante sur mon ventre alors que je lui caressai son gland humide. Taylor laissa échapper un souffle chaud, chatouillant directement ma poitrine tandis qu'il enfonça plus vivement ses deux doigts entièrement, touchant cet endroit sensible au fond de moi.

Nero - Into the Past (BO Gatsby)

« Ah ! Oui, Taylor... c'est... » Le souffle me manqua pour parler quand il continua le mouvement de ses doigts en moi, frôlant et caressant encore cette zone délirante. « Je sais », souffle t-il, embrassant mon cou. Je caressai le sexe du jeune homme de tout son long, me délectant de le trouver aussi dur. Taylor quitta soudain mon intimité et libéra son sexe de mon emprise, non sans faire entendre un grognement plaintif.

Ses bras musclés s'appuyèrent contre le matelas de chaque côté de mon corps. Son bassin s’affaissa contre le mien. Je plantai mes ongles dans la peau de ses bras sachant que le moment tant attendu allait enfin arriver. Taylor m’écarta gentiment davantage les jambes d'une main et fit doucement glisser son sexe juste entre mes cuisses, frottant à nouveau mon entrée. Je me cambrai sous lui, caressant le bout de son sexe contre mon intimité. Taylor attrapa ma main et la serra, gémissant entre ses dents.

Son sexe poussa plus concrètement entre mes jambes et il ne me quitta pas des yeux avant de pousser plus légèrement pour que le bout de son sexe s'enfonce en moi. Ma bouche était figée entre ouverte. C'était tellement bon ... Alors, son regard me scrutant toujours, il poussa en moi dans un râle rauque. Je m’agrippai à ses épaules, bougeant à son rythme.

« Merde, ouais... Han », Taylor grogna dans le fond de sa gorge et mordit dans mon épaule, enfonçant ensuite sa tête dans mon cou. Je perdais pied sous lui. Ses vas et viens incessants à l’intérieur de mon corps étaient merveilleux. « Putain, oui ! », je ne pu m'empêcher de crier alors que son gland cognait et frottait juste cet endroit au fond de moi qui me faisait voir des merveilles.

Taylor, au-dessus de moi, ne cessait de gémir et jurer dans des murmures qu'il voulait contrôlés. « Taylor », soufflai-je, serrant son bras autour de mes doigts. Celui-ci me répondit par un gémissement plaintif alors qu'il s'enfonça une énième fois dans mon corps. « Doucement, fait le durer ». « Ohh... » Son gémissement fut accompagné de mouvements plus longs, plus travaillés. Et je sentis chaque centimètre sortir de son corps, puis chaque centimètre s'y introduire à nouveau.

Je commençais à haleter et sentais Taylor trembler sur moi. Pendant un instant, nous continuâmes ces mouvements lents et sensuels jusqu'à ce que j’appuie mes mains contre ses fesses, l'incitant à reprendre un rythme plus soutenu. Taylor se retira complètement, pressa sa bouche contre la mienne et pénétra vivement en moi d'un coup de bassin, presque par surprise, me laissant échapper un cri étouffé.

« Merde, oui, encore » soufflai-je entre ses lèvres, d'un ton presque suppliant, bien que Taylor continuait déjà, de toute façon incapable de s'arrêter. Sentant la fin proche, j’écartai les jambes autant qu'il m’était possible de le faire et donnai des coups de reins plus poussés, tandis que j’enfouissais ma tête contre son torse. C’est dans une ultime pénétration puissante, que je joui dans un cri silencieux tout contre lui. Taylor haleta, happant l'air autour de lui et jouit quelques secondes plus tard à l’intérieur de moi, gémissant bruyamment dans l’oreiller, tout près de mon oreille.

« Tu m’auras bien fait galérer, rigole-t-il tout en se retirant lentement de moi.

-         Au moins, tu as pu vraiment apprécier ...

-         Oh ça oui, souffle-t-il avant de m’embrasser à nouveau. Mais cette fois-ci, plus tendrement qu’à son habitude. Beaucoup plus tendrement.

-         Taylor ... Tu es malade ?

-         Pourquoi tu dis ça ? Rit-il.

-         Je ne sais pas, tu agis bizarrement ...

-         Non je vais bien. Je me sens bien, me sourit-il le regard tout aussi tendre avant de m’embrasser à nouveau. Serait-il ... ? Et bien ma vieille, on peut dire que tu y es enfin arrivée ! Félicitation Morgan ! ».  

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FIN DE LA MAJ 17 !! 

Mesdames et messieurs ... Le moment que vous attendiez tous est enfin arrivé ! Morgan est passée à la casserole avec Taylor ! Hipipip ! Hourra ! OMG, une bonne chose de faite !

On ne vas pas dire la même chose pour Jason qui s'est pris un vent magistral. De son côté, Kylian prépare en secret un petit anniversaire surprise pour son meilleur ami ! Mais est-ce que Raven pourra les accompagner ?

Quinn et Rupert c'est fini grâce à Beth qui n'a pu garder ça pour elle bien longtemps. En même temps, on savait très bien qu'elles ne se portaient pas dans le coeur l'une de l'autre. C'était prévisible qu'elle balance à tout le lycée !

Beaucoup de chansons dans cette MAJ, laquelle avez-vous préféré ? D'ailleurs que pensez-vous des Sugar Death avec deux nouveaux persos (j'espère que vous avez reconnu Justin) : Gale et Amanda. On n'a pas fini d'en entendre parler !

Bisous à tous et n'hésitez pas à laisser des coms pour me dire ce que vous en pensez !

Isiis.

Willow : Roh jamais contente ... En même temps, je comprends pourquoi ^^. Dake et Camille ? Mais Dake est gay, c'est peu probable !

MissShouky : Non mais Beth ne veut pas Rupert hein ! C'est juste qu'elle veut faire chier Quinn, vu qu'elle ne peut pas se la voir.

SLAMTAN : Mais c'est un gars solide le Taylor, non mais ! T'en fais pas pour lui, c'est pas une nana comme ça qui va le faire pleurer ! Morgan, personne ne l'aime mdr, à part MissShouky ^^.

Et Beth ... En même temps avec un frère comme Taylor, tu m'étonnes qu'elle ne veuille pas donner sa virginité à n'importe qui ! Elle a une certaine vision des hommes, on va dire ...

Et merci, ça fait toujours plaisir de lire vos commentaires les filles <3

Mercredi 9 Décembre :

*Morgan*

Tendrement enlacée dans les bras de Jesse, en compagnie de mes deux meilleurs amis, j’attendais avec impatience l’arrivée de Taylor. Les étudiants passant près de nous, chuchotaient entre eux, en nous jetant des regards intrigués. Je souris intérieurement … Quel scoop ! Morgan Smith n’est plus en couple avec Taylor Andrew ! Mais que s’était-il bien passé ? Jesse, quant à lui, stressé à mort, avait peur de la réaction de son meilleur ami. En même temps, lui piquer sa nana, c’est sûr que ça ne devrait pas lui faire très plaisir, mais je ferai tout mon possible pour minimiser les dégâts.

 « Non mais je rêve !! S’exclama une voix. Vous vous foutez de moi c’est ça ? C’est une blague ?! Rassurez-moi ! ». Tiens, tiens ... Taylor était enfin arrivé ... Je sentis Jesse desserrer doucement son étreinte et je l’agrippai d’une main ferme tout en lançant à mon ex mon plus beau sourire : « Non, on t’a eu c’est tout ! ».

« De quoi vous m’avez eu ? Jesse, c’est quoi ce bordel ?! Qu’est-ce que tu fou avec elle ? Oula, il était vraiment énervé, je ne pensais pas qu’il réagirait ainsi ... Bon, autant jouer franc jeu maintenant ...

-         J’ai accepté de sortir avec toi, lui expliquai-je, dans un seul but : te faire comprendre ce que ressentaient les filles quand tu avais fini de faire joujou avec elle.

-         Pardon ?

-         Voyons Taylor, pourquoi j’ai accepté de sortir avec toi sachant que je te détestais ? Tu as cru que ton charme légendaire avait marché sur moi ?! Me moquai-je. 

-         Tu... Tu m’as utilisé, réalisa-t-il.

-         Comme tu le fais si bien depuis trois ans avec tout le monde. Oui, Taylor, je t’ai utilisé, affirmai-je d’une voix glaciale. »

Abasourdi, il resta planté-là, ne sachant quoi faire, ni dire. Il jeta un regard à Jesse, empli de reproches. « Jesse n’était pas dans le coup. Nous deux, ça s’est fait tout seul. »

Réalisant soudain que nous étions au beau milieu de la cour et que plusieurs étudiants nous regardaient, il s’en alla sans demander son reste.

« Ah ! Bien fait pour sa gueule ! S’en réjouit Emma.

-         Tu ne crois que tu y es allée un peu fort ? Tu aurais pu nous prévenir quand même ! Nous tenir au courant de tes projets ! Me reprocha Evan.

-         Il fallait que ça fasse vrai. 

-         Il faudrait que j’aille le voir ... Marmonna Jesse.

-         Tu devrais attendre demain non ? Si Emma me piquait mon mec, je ne crois pas que je lui adresserai la parole tout de suite.

-         ...

-         Mais vous êtes meilleurs amis depuis l’enfance ! Il pourra passer outre !

-         Franchement je ne sais pas ... Je ne l’ai jamais trahi de cette façon ...

-         Allons, ils s’en fou des meufs. Tu lui as juste enlevé un poids de ses épaules ! Tu m’as dis que ça vous étiez déjà arrivés d’échanger des copines.

-         Ce n’était pas pareil, c’était juste des histoires d’un soir. Il n’a jamais approché mes petites-amies et idem pour moi. Je ne sais pas s’il me pardonnera un jour ... Il avait vraiment l’air malheureux en disant ces mots. Je me mordais les lèvres. Mince ! Qu’avais-je fait ? »