« Lâche-la ! Tout de suite ! Grogne Eas.

- Va voir ailleurs si j’y suis ! cingle Paris. »

Comme le jeune homme ne bougeait toujours pas et resté sur place, le brun daigna le regarder pour lui ordonner de dégager.

« Quand tu la laisseras partir, je m’en irai mais pas avant. Alors maintenant fais ce qu’elle te demande ou je vais me fâcher. »

Pour toute réponse, Paris ricana : « Non mais tu rêves, j’espère ! Cette histoire ne te concerne pas, alors retourne jouer avec tes chiens qui te servent d’amis et laissent parler en adulte »

Safia tourna sa tête vers lui et du regard, lui fit comprendre de ne pas la laisser seule avec l’aristocrate. Voyant que celui-ci resserrait sa prise, ce qui fit gémir de douleur la jeune femme, Eas perdit son contrôle et le poussa sans ménagement.

« Connard, l’insulte Eas, comment oses-tu la traiter comme ça ! Elle ne t’appartient pas à ce que je sache ! Elle est du même rang que toi, alors respecte-la putain !

- Va te faire foutre, enfoiré. Tu as osé lever la main sur moi ?

- Je ne t’ai même pas frappé, mais si tu continues, c’est ce que je vais faire … Menace-t-il. 

- Eas ? l’appelle timidement Thétys. Que se passe-t-il ? Elle aussi avait été attirée par le tapage qu’avait provoqué la dispute.

- Rien, l’affaire est réglée. N’est-ce pas Paris ?