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    Non loin de là, Safia passait un bon moment avec Paris et Mykonos. Enlacé par son futur fiancé, elle rigolait des blagues du géant atlante. C’est vrai que Mykonos était grand, très grand. Le plus grand de tous les atlantes. Il doit être redoutable sur un champ de bataille pense-t-elle. Paris ne disait pas grand-chose préférant écouter sa petite-amie rire des blagues idiotes de son ami. Il adorait Safia et malgré l’amitié naissante entre elle et Eas, il était sûr qu’elle accepterait de l’épouser. Ce n’est pas parce qu’il lui faisait les yeux doux qu’il allait lui piquer sa petite-amie ! Foi de Paris !

     

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    Assis tranquillement dans l’herbe, il commença à lui faire des petits bisous dans la nuque. « Ah Paris arrête ! Lui ordonne-t-elle en rigolant. Ca chatouille ! ». Il ne lui obéit pas et continua son œuvre. Sachant qu’il allait se sentir de trop, Mykonos décida de s’allonger sur le sol et de faire la sieste par cette belle après-midi ensoleillée. « Paris, reprend-t-elle en essayant d’avoir une voie menaçante. » Mais rien n’y faisait, son futur fiancé continuait de déposer de léger baiser dans son cou et de temps en temps, il lui léchait le lobe de l’oreille.

     

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    Elle se retourna vivement pour qu’il arrête ses chatouilles et se retrouva nez à nez avec lui. Qu’est-ce qu’il était beau … Depuis sa convalescence, il ne s’était jamais montré aussi attentionné, sûrement pour se faire pardonner de leur dispute le soir de son anniversaire. Mais quand il a risqué sa vie pour elle, elle a tout de suite cessé de le haïr, à l’instant même où elle l’avait vu tombé après avoir reçu un coup de couteau. « Je t’aime, lui chuchote-t-il à l’oreille ».

     

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    Safia se jeta sur ses lèvres pour l’embrasser passionnément. Surpris, Paris en tomba à la renverse mais se laissa faire, ravi qu’elle prenne autant d’initiatives. Ils roulèrent dans l’herbe en se chatouillant jusqu’à ce qu’il se retrouve au-dessus d’elle.

     

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    Il admira son visage parfait avant de se pencher doucement vers elle. Les lèvres entrouvertes, la respiration haletante, elle attendait qu’il en prenne possession. Le bel aristocrate ne se fit pas attendre plus longtemps et l’embrassa tendrement, jouant avec ses lèvres. En voulant plus, elle mit ses mains derrière sa tête pour qu’il approfondisse son baiser. Paris savait que la moindre erreur pouvait tout faire foirer. Vierge, elle n’était pas encore prête pour certaines choses, il se contenta donc de caresser ses hanches tout en faisant ce qu’elle lui demandait silencieusement. Il aurait tant aimé effleurer ses seins de ses doigts mais ne sachant pas comment elle allait réagir, il se retint de le faire, se contentant d’apprécier ce moment tant privilégié.


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