-
277
Cependant, elle continua et il se pencha, l’attrapa par les épaules et la releva avant de la jeter sur le lit. Il fouilla dans son jean au sol et en sortit un sachet argenté. Elle enleva son soutien-gorge puis s’allongea tandis qu’il enfila lentement son préservatif. Elle avait tellement envie de lui. Les yeux baissés sur elle, il passa la langue sur ses lèvres.
Il se pencha sur le lit et rampa lentement au-dessus d’elle tout en l’embrassant. Il baisa ses seins, en agaçant les tétons pendant qu’elle gémissait et se tortillait sous lui, sans qu’il s’arrête pour autant. « Maintenant, le supplia-t-elle ».
Il ouvrit ses cuisses avec ses jambes et se déplaça de manière à planer au-dessus d’elle. Sans détacher son regard du sien, il plongea en elle avec une lenteur délicieuse. Elle ferma les yeux, savourant l’ampleur, la sensation exquise de sa possession, basculant instinctivement le bassin pour aller à sa rencontre, pour le rejoindre, tout en gémissant bruyamment. Il se retira et l’emplit une nouvelle fois très lentement. Les doigts de Téthys se frayèrent un chemin dans ses cheveux soyeux et rebelles. Il allait et venait en prenant son temps.
« Plus vite, Andreas, plus vite ... je t’en prie. »
Il baissa son regard triomphant sur elle avant de l’embrasser avec fougue puis il commença vraiment à se mouvoir en elle – un mouvement éprouvant et impitoyable – et Téthys savait qu’il n’y en avait plus pour longtemps. Il la pilonna en rythme. Elle s’emballa, ses jambes se raidirent sous lui. « Viens, jouis pour moi, haleta-t-il. »
Ses paroles causèrent sa perte et elle explosa, superbement, à s’en engourdir le cerveau, en un million de morceaux autour de lui, et il se joignit à elle en criant son nom. « Téthys ! Oh putain, Téthys ! ». Il s’écroula sur elle, la tête blottit dans son cou.
-
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment
Ajouter un commentaire