• 07/05/2011 (3)

                Sans prévenir, je mordis une nouvelle fois la lèvre inférieure du jeune homme. Il poussa une exclamation de surprise, puis la situation s'inversa brusquement. Il se saisit de mes bras pour me faire basculer sur le côté. Amusée, j’acceptai cette soudaine perte de contrôle et me retrouvai sous lui en lui jetant un regard provocant.

     

    07/05/2011 (3)

                Puis, sans prévenir, il fondit sur moi et me mordit la gorge. Je poussai un gémissement de surprise. Taylor me parcourut de baisers légers qui me donnèrent des frissons. Il appuya plus fort sur ma peau, inspirant en même temps mon odeur. Il laissa une fine traînée humide et brûlante derrière lui tandis qu'il descendait entre mes seins. Il leva ensuite sa main droite, dont les doigts ne firent qu'effleurer le haut de mes seins puis s'arrêta.

     

    07/05/2011 (3)

                Il descendit ensuite plus bas, évitant de toucher ma poitrine, suivant les côtes et enfin mon ventre. Je fermai les yeux pour profiter au mieux de ses caresses. Il leva sa main et parcourut mon buste avec de légères caresses. Ma peau frissonna sous ses doigts. J’ouvris les yeux et le vis sourire.

     

    07/05/2011 (3)

    Il se plaça à mes côtés et se pencha de nouveau sur moi pour m'embrasser. Lentement d'abord, puis fougueusement. J’avais comme l'impression que Taylor m'aspirait en lui. Soudain, il pressa ses mains sur mes hanches, les passa sur mon ventre, le long de mes cotes, puis sur mes joues et derrière ma nuque. Il se pressait de plus en plus fort contre mon flanc et je pouvais sentir à travers ses vêtements qu'il était bien content de la situation.


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  • Neiked - Sexual

     

    07/05/2011 (4)

                J’entrepris d’enlever à mon tour son haut. Les attentions de mon amant rendaient mes doigts fébriles et n'y tenant plus, je tirai d'un coup sec et déchirai le bas de sa chemise. Taylor sourit face à ma maladresse, mais je me redressai déjà pour parcourir avidement son torse de mes mains et de mes lèvres. Je parcouru des doigts la ligne de sa clavicule, l'embrassai et descendis aussi bas que je le pu, mes lèvres glissant sur son ventre musclé.

     

    07/05/2011 (4)

                D'une main habile, il prit un de mes seins et cette fois, je ne pu retenir un gémissement. Je sentis la main tiède courir sur ma peau, la presser, la masser. Il recommença à embrasser ma peau nue en partant du milieu. Arrivé au sommet de l'une des jolies collines de chair, il en mordit doucement la pointe. Un autre gémissement sorti de ma bouche. Ma respiration se fit plus haletante tandis que je sentais une main glisser le long de ma cuisse et disparaître vers mon entre-jambe, vers ma culotte pour l’enlever.

     

    07/05/2011 (4)

                Je me cambrai d'un coup. Taylor venait d'appuyer sur cette toute petite chose qui déclenchait tant de plaisir. La tête rejetée en arrière, les yeux fermés et la respiration haletante, je me délectais des caresses que me prodiguait mon partenaire. Toujours allongée sur le lit, je levai légèrement une main et la posai sans prévenir sur le membre dressé de Taylor. Celui-ci eut un hoquet, puis dû sentir ma main bouger car il respira plus fort. Il se redressa pour envoyer son pantalon, ainsi que son caleçon et ses chaussettes rejoindre le reste de nos vêtements au pied du lit. Puis il se plaça à nouveau au-dessus de moi. Il recommença à suçoter le bout de mes seins l'un après l'autre.

     

    07/05/2011 (4)

                Taylor vint s'allonger à côté de moi et fit glisser sa main tout le long de ma jambe. Je gémis doucement quand il effleura délicatement mon intimité, le corps tremblant, comme parcouru de petites décharges électriques. Mais lorsque Taylor enfonça lentement un doigt en moi, je laissai échapper un cri.

     « Taylor, je … commençai-je.

    -        Shht, m’intima celui-ci. »

                Il entreprit de faire de lent vas-et-viens. Gémissant de plus belle, je passai une main dans les cheveux du beau brun. Je levai le bassin pour mieux venir à la rencontre de sa main si habile.

    « Plus vite, quémandai-je.

    -        A vos ordres, me susurra Taylor. »

                Il accéléra brusquement la cadence de ses allers et venues et mes gémissements se firent plus haletants encore. Ma main se désintéressa de ses cheveux pour venir s'amuser avec une chose beaucoup plus intéressante. Taylor gémit et se pencha pour m'embrasser sauvagement. Nous nous séparâment quelques instants après, le souffle plus court que jamais.

     

    07/05/2011 (4)

    « Morgan, j'ai envie de toi, fit-il d'une voix rauque. »

                Je souris, mes yeux noisette assombris par le désir. Je repoussai gentiment Taylor sur le doux satin gris du lit. Très lentement, je me glissai entre ses jambes. Une fois arrivée à la hauteur de ce qui faisait la fierté du beau brun, je baissai la tête et lui donna un léger coup de langue. Le jeune homme frémit de plaisir.

     

    07/05/2011 (4)

    Je pris alors le membre fièrement dressé de mon partenaire d'une main et entama un lent mouvement. Durant mes douces manœuvres, je ne le quittais pas des yeux. J’appréciais y voir son plaisir pour moi.

    « Je veux sentir ta bouche. »

    Ces paroles sonnèrent agréablement à mes oreilles. Mais je n'obéissais pas aux ordres. Je continuai donc ma douce torture quelques instants encore, lorsque je sentis tout d'un coup les mains de Taylor sur le sommet de mon crâne. Ces mêmes mains appuyèrent sur ma tête jusqu'à-ce que j’accepte de la baisser et de poser mes lèvres sur le pieux de chair.


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  • 07/05/2011 (5)

                Alors je l'embrassai, fis courir ma langue sur le long de la peau dressée, le mordillai doucement, puis je le pris d'un coup dans ma bouche. Taylor poussa un râle. J’accompagnais ma bouche de caresses, variant le rythme, étant attentive aux gémissements de Taylor.

    « Mor…Morgan, je te veux ! Gémit-il. »

     

    07/05/2011 (5)

                Je souris et me redressai pour parsemer le ventre, le torse et le cou du jeune homme de baisers sulfureux. Nous nous embrassâmes sensuellement une fois de plus, puis je le guidai en moi le plus lentement possible. Une fois arrivé au fond, je ne bougeai plus. La tête rejetée en arrière, je savourais cette sensation de chaleur intense. Puis je commençai à bouger en regardant mon partenaire. Ce dernier avait les yeux fermés et se mordait la lèvre.

    « Tu sais que tu peux te lâcher, lui murmurai-je. »

     

    07/05/2011 (5)

                Il ouvrit les yeux et me sourit, puis il posa ses mains sur mes hanches et poussa d'un coup. Je criai et Taylor recommença, le sourire aux lèvres.

    « Tu préfères ça ? Demanda-t-il haletant. »

                Je lui souri et bougeai mon bassin plus vite. Le beau brun accompagnait chacun de mes mouvements, la respiration saccadée. Je ne tardai pas à gémir de plus en plus fort. Mon bas-ventre se remplissait d'une intense chaleur. C'est ce moment que Taylor choisit pour lever un peu ses jambes et donner de violents coups de bassin. Je sentis soudainement l'explosion de plaisir envahir mon corps et me réchauffer toute entière. Je criai et griffai le torse du beau brun, laissant des sillons rosis sur sa peau. Lorsque les vagues de l'orgasme se dissipèrent, je ralentis la cadence.

    « Tu es si belle, Morgan, dit Taylor en se redressant. »

     

    07/05/2011 (5)

                Il m'embrassa tendrement et, sans se séparer de moi, me retourna pour se retrouver dessus. Les rôles s'inversèrent. Il remua au-dessus de moi et je levai mes hanches pour venir à sa rencontre. Il recommença à accélérer, encore et encore, m’embrassant, mordant mon cou, enfouissant son visage dans mes cheveux épars.

                Ses coups de bassins adoptèrent un rythme frénétique, puis endiablé. Je criais sous lui tandis que je jouissais de nouveau. Sur le point d'atteindre lui aussi l'orgasme, il agrippa mes épaules et me serra contre lui tandis qu'il rejoignait à son tour le septième ciel.


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  • 07/05/2011 (6)

                A peine avions nous fini de nous rhabiller, que nous entendîmes la porte d’entrée s’ouvrir. Ils étaients déjà là ?

    « Vite ! Prend ton ordi et fait semblant de travailler ! Lui murmurai-je alors que je faisais mon lit à la va vite. »

     

    07/05/2011 (6)

    Taylor s’installa par-terre et ouvrit son ordinateur portable. Quant à moi, j’eus tout juste le temps de m’installer à mon bureau quand Dean pénétra dans ma chambre.

    « C’était un match de ouf ! Dommage que tu ne soies pas venue ! Tu as raté un sacré truc ! Euh … Salut, dit-il quand il aperçut enfin Taylor.

    -        Salut, lui répondit-il.

    -        Alors ce projet ? Il avance bien ? Entra ensuite ma mère. Oh, bonjour Taylor.

    -        Bonjour madame Smith, se releva-t-il pour lui faire la bise.

     

    07/05/2011 (6)

    -        Taylor est venu m’aider, lui expliquai-je en me levant à mon tour. Et également pour réviser un examen que nous avons jeudi. Nous allions nous y mettre justement. Kylian a gagné ?

    -        Tu parles d’une victoire ! S’exclama Kylian tout content. Tiens, tu es là Taylor ?

    -        Bonjour à toi aussi, lui sourit-il.

    -        Ouais … Salut. Kylian me jeta un regard torve.

    -        Je vous laisse, j’ai des trucs à faire. Maman redescendit.

     

    07/05/2011 (6)

    -        Et ce n’est pas la seule bonne nouvelle ! Dis-lui Kylian ! Repris Dean.

    -        Un sélectionneur était présent pour voir le match. Il a annoncé au coach que l’un de nous aurait certainement une bourse pour la fac ! Et je peux t’assurer que je serai l’heureux élu !

    -        Du coup, on va encore en entendre parler du foot c’est ça ? Plaisantai-je.

    -        T’inquiète, tu auras maman pour parler chiffon.

    -        Roh … Je rigole, le pris-je tendrement par le cou. J’’espère que tu vas tout donner pour obtenir cette bourse.

    -        Sinon je suppose que tu vas me narguer avec ça le reste de ma vie.

     

    07/05/2011 (6)

    -        Si tu échoues oui, clignai-je d’un œil.

    -        Dis-moi, tu es super sympa comme grande sœur, intervint Taylor. Je plains tes frères.

    -        Ah merci Taylor ! Enfin une personne qui s’en rend compte !

    -        Avec moi, elle est super cool, me défendit Dean.

     

    07/05/2011 (6)

    -        Parce que tu es mon préféré, tout le monde le sait, l’enlaçai-je par l’épaule.

    -        Ça ne se fait vraiment pas, feignit de bouder Kylian.

    -        Moi aussi je t’aime fréro, l’embrassai-je sur la joue. Allez, oust ! Nous avons du boulot avec Taylor. »


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  • *Jason*

                Il était une heure du matin et je rôdais dans les quartiers de Detroit. Tel un justicier, je surveillais les alentours afin de protéger la veuve et l’orphelin de n’importe quel taré du coin. Sauf que moi, je n’avais pas de masque à la Daredevil. Je n’avais qu’une simple capuche pour camoufler un petit peu mon visage. Je comptais beaucoup sur l’obscurité de la nuit pour empêcher les gens de le voir.

                Je levai la tête pour trouver le meilleur chemin me permettant d’accéder aux toits. De là, j’avais une vue dégagée sur les rues et avenues de la ville, et je pouvais intervenir plus rapidement si besoin. Le seul problème, c’est que je devais d’abord me débarrasser de Raven.

                Je l’avais repéré depuis que nous avions quitté la maison. Elle faisait en sorte de ne pas faire de bruit et de me suivre de loin, mais échec total, je l’avais entendu dès le moment où ses pieds avaient touché le sol. Elle aussi avait choisi de faire le mur par la fenêtre de sa chambre.

                Je décidai de tourner dans une ruelle sombre. Si j’agissais vite, j’avais une chance de la semer.

                Zut ! Pensa Raven en voyant Jason disparaître. Il vient de tourner, je dois le rattraper ! Elle se hâta de rejoindre la ruelle où elle avait vu son ami pour la dernière fois. Fais chier, il fait trop sombre … Elle sortit son téléphone portable et mit le flash pour faire lampe torche. Elle s’avança un peu et se rendit compte, à son plus grand désarroi, qu’il s’agissait d’une impasse. Où pouvait-il bien être passé ? Elle regarda derrière des poubelles : rien. Aucune trace de Jason. Au sol, elle vit une plaque d’égout légèrement décalée comme si quelqu’un l’avait remis à la va vite. Serait-il passé par là ? Mais pourquoi faire ? Dans tous les cas, il était hors de question qu’elle y aille aussi ! Dégoûtée de ne pas avoir eu le fin mot de l’histoire quant aux destinations du blondinet en pleine nuit, elle se résigna à rentrer à la maison. Tant pis, elle essaiera une prochaine fois car elle n’avait pas dit son dernier mot !

                Du haut de mon perchoir, je vis Raven faire demi-tour. Une bonne chose de faite ! Maintenant, j’allais pouvoir continuer ma surveillance. Après avoir décalé la plaque d’égout, j’eus tout juste le temps de grimper sur le muret à l’aide des poubelles. Heureusement qu’elle n’a pas eu l’idée de jeter un œil en haut car elle aurait pu deviner que j’avais escaladé. Mais ce ne fut pas le cas. Il va falloir que je fasse plus attention par la suite. Je ne voudrais pas qu’elle me prenne en filature jusque dans les endroits craignos de Detroit. S’il lui arrivait quelque chose, je ne me le pardonnerai jamais.

                Je sautai sur une plateforme servant de sortie de secours pour les immeubles et montai sur le toit en utilisant les échelles. Une fois en haut, je profitai de la vue sur ma ville. De nuit, elle était magnifique … Soudain, j’entendis des voix crier. Des hommes semblaient se disputer. Je m’approchai du rebord de l’immeuble et me penchai légèrement pour voir ce qu’il en était.

                Grâce aux quelques réverbères parsemés dans la rue plus bas, je pu apercevoir un attroupement d’hommes. La plupart étaient plutôt bien habillés, style costard cravate, mais semblaient assez baraqués. Ils me firent penser immédiatement à ses gardes du corps de stars. Le genre auquel il ne vaut pas mieux s’y frotter. Ils s’adressaient de manière virulente à deux mecs qui m’avaient l’air complètement stone.

    « Avec le fiasco d’Alban et de son équipe, vous ne nous servez plus à rien, expliqua le garde du corps numéro 1. Le boss ne veut plus avoir affaire à vous. Compris ?

    -        Steuplé man ! Lui répondit le stone numéro 1. On a besoin de cet argent. On va continuer à vendre la came comme avant, il n’y aura pas de problème et vous aurez toujours le monopôle sur la drogue de Detroit.

    -        On n’est plus intéressé, croisa ses bras garde du corps 1. Point barre. Le boss va trouver quelqu’un qui sait contrôler ses gars et qui les empêche de faire des conneries.

    -        En tuant un flic par exemple ! Plaisanta garde du corps 2. Garde du corps 1 le regarda de travers et garde du corps 2 préféra reculer.

    -        A cause de cette histoire, reprit garde du corps 1, les flics sont déchainés. Ils patrouillent beaucoup plus qu’avant, ce qui nuit au business.

    -        On sait où est Ezio ! S’exclama stone 2.

    -        Vraiment ?

    -        Il a réussi à sortir du pays. C’est pour ça que les flics n’arrivent pas à le trouver. Il s’est barré à Mexico d’après ce que je sais.

    -        Qui te l’a dit ?

    -        Le bras droit d’Alban, Magnus. Il n’était pas là le soir où les flics ont fait la descente. Du coup, il n’est pas en taule. Ezio lui a envoyé un message comme quoi il aurait besoin d’argent. Mais Magnus ne lui en enverra pas, il n’est pas si con. Attends une seconde, est-ce qu’ils sont en train de parler du meurtrier du père de Raven ?

    -        Alors, vous accepterez de parler au boss ? Pour qu’il accepte de reprendre notre gang comme dealer ? Lui demanda stone 1.

    -        Lui parler de quoi ? On ne nous a rien demandé du tout, lui répondit froidement garde du corps 1.

    -        Mais … ? »

                Et sans s’embêter avec eux une seconde de plus, garde du corps 1 leur colla, à chacun, une balle dans la tête.

    « Aller les gars, on rentre. Le boss pourrait trouver cette information très utile. »

                J’étais pétrifié. Je n’osais pas bouger d’un pouce tandis que les hommes de main repartaient dans leurs véhicules noirs. C’était la première fois que je voyais quelqu’un se faire tuer de sang froid. Je me retournai pour vomir mon repas du soir.

                Mais qui étaient ces gars putain ?!  On aurait dit un règlement de compte entre des criminels de bas étage et des mafieux. Il y aurait une mafia à Detroit ? Je pris mon téléphone et tapai « mafia Detroit » sur Google. Ah oui effectivement. Un article parlait du Detroit Partnership. C’était une organisation criminelle faisant partie d’une des 25 familles de la mafia américaine ou Cosa nostra.

                Ainsi, le groupe de dealer qui s’est fait arrêté et ayant tué le père de Raven, faisait en réalité parti de la mafia de Detroit ! C’est pas bon ça … Pas bon du tout … Devrais-je prévenir Raven ? Mais comment lui dire ? Hey, au fait hier soir, je suis tombé sur un règlement de compte et en les écoutant parler, j’ai appris que le meurtrier de ton père se trouvait à Mexico et que la mafia était derrière ce trafic de drogue. Tout compte fait, il ne valait mieux pas … Ou alors, ce n’était pas le bon moment.


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  • Dimanche 08 Mai 2011 :

    *Morgan*

     

    08/05/2011 (1)

    Epuisé, Jesse se laissa tomber à mes côtés.

    « Pfiou … Je vais prendre une douche. Tu viens ? Me proposa-t-il en souriant, la tête penchée sur le côté.

    -        Je pense que je vais m’étirer un peu avant. Je te rejoins juste après, je lui souris en lui caressant la joue.

    -        Dac, il me fit un bisou avant de sortir du lit. »

     

    08/05/2011 (1)

    En silence, je le regardais prendre un caleçon dans le tiroir. Il entra finalement dans la salle de bain sans oublier de m’adresser un de ses sourires ultra bright.

     

    08/05/2011 (1)

    Une fois qu’il eut disparu de mon champ de vision, je lâchai un soupir. Pour la première fois, j’ai dû simuler avec Jesse. Cela me fait mal de le penser, mais dorénavant, j’ai l’impression de plus m’éclater au lit avec Taylor qu’avec lui …


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  • 08/05/2011 (2)

                En parlant de Taylor, ce-dernier était tranquillement posé sur le lit de sa sœur. Il était venu passer la journée avec les femmes de sa vie.

    « Pas mal, pas mal … J’aurais mieux fait mais je dois admettre que c’est plutôt bien, dit-il en admirant les affiches de Beth. Si vous ne gagnez pas le concours, c’est que les élèves de ta promo n’ont rien compris.

     

    08/05/2011 (2)

    -        Ne me dis pas que tu as participé à ce genre d’évènement, c’est une blague, se moqua Elena, assise à la coiffeuse.

    -        Bien sûr que non, mais ça ne m’a pas empêché d’être élu roi du bal de promo, rit-il.

    -        Comment ça ?

    -        Mon charme avait dû faire des ravages auprès des lycéennes car même si je ne m’étais pas inscrit sur la liste, c’est bien mon nom qui est sorti pendant le bal, raconta-t-il. Et pour tout te dire, ça m’a bien fait rire. Mais bon, j’ai joué le jeu et suis monté sur scène avec la reine. Je ne sais même plus qui c’était tellement ça m’a marqué.

     

    08/05/2011 (2)

    -        Mon frère, victime de sa beauté, soupira Beth. Depuis, il se croit supérieur à tous les mecs.

    -        Je ne le crois pas, je le suis, sourit-il.

    -        Et pourtant, Morgan t’a largué comme une merde, lui rappela-t-elle.

    -        Si tu savais, Beth, si tu savais … Sourit-il mystérieusement.

    -        Quoi ? Vous vous êtes remis ensemble ?

    -        Mais elle sort avec Jesse, ne comprit pas Elena.

    -        Au fait, elle en est où ta chorégraphie pour l’audition ? Changea-t-il de sujet.

     

    08/05/2011 (2)

    -        Je gère, lui répondit-elle.

    -        Je veux la voir de mes propres yeux. Tu vas nous la montrer dans le jardin, se leva-t-il.

    -        Sérieux ? Maintenant ?

    -        Oui. Viens Elena, sortons. Laissons-là se changer. »

     

    08/05/2011 (2)

                Taylor et Elena quittèrent sa chambre.

    « Va en bas, je te rejoins. J’ai quelque chose à vérifier dans ma chambre, lui apprit-il.

    -        Ok. »

     

    08/05/2011 (2)

                Une fois dans son antre, Taylor se dirigea vers son bureau. Il passa sa main sous la table et sentit un paquet. Ce paquet contenait tout ce qu’il avait pu mettre de côté grâce à la drogue afin de payer l’école de sa sœur. Il repensa à l’appel de sa mère qu’il avait eu hier soir. Elle l’avait appelé en pleur, lui expliquant qu’elle ne savait pas comment elle allait bien pouvoir lui payer ses études. Londres était une ville chère sans compter les coûts d’entrée. Taylor lui avait alors assuré qu’il trouverait un moyen et qu’elle n’avait pas à s’en faire. Maintenant qu’il avait l’argent nécessaire, il fallait trouver une excuse quant à sa provenance …


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  • 08/05/2011 (3)

                Plus tard, dans un restaurant du centre-ville, Christina discutait avec Evan.

    « … Depuis, je l’ai croisé de nombreuses fois mais je n’ai jamais osé l’approcher. Je ne sais pas quoi lui dire … Dit-il avec une moue dépitée. J’ai peur de n’être qu’un coup d’un soir pour lui.

    -        Tu dis n’importe quoi. Tu n’es certainement pas un coup d’un soir Evan. La prochaine fois que tu le croises, tu portes tes coucougnettes et tu vas lui demander son numéro de téléphone, c’est clair ?

    -        Oui madame, sourit-il gêné. Mais si …

    -        Et s’il n’est pas intéressé, et bien tant pis pour lui, il ne sait pas ce qu’il rate.

    -        Merci Christina, je ne sais pas ce que je ferai sans toi.

    -        Tu me remercieras quand tu auras obtenu ton rendez-vous avec lui, d’accord ? Lui sourit-elle.

    -        Entendu. Et toi alors ? Comment ça se passe avec Scott ?

     

    08/05/2011 (3)

    -        Super mais il y a un léger problème …

    -        Lequel ?

    -        Jake. Vendredi, il est passé me voir et m’a déclaré son amour pour résumé. Il veut que je lui pardonne et que je nous redonne une seconde chance, bla bla bla …

    -        J’espère que tu as refusé.

    -        J’ai dis que je réfléchirai …

    -        Et bien c’est tout réfléchi. Jake t’a assez fait de mal comme ça. Tu es heureuse avec Scott donc tu n’as même pas à choisir. C’est évident !

    -        Oui. Tu as raison …

     

    08/05/2011 (3)

    -        Bien sûr que j’ai raison. Écoute, tu me conseilles concernant Justin et je te donne mon avis pour Jake. Tu as suffisamment souffert et tu mérites un peu de bonheur dans ta vie.

    -        Christina soupira : A présent, il faut que je le tienne au courant. Elle sortit son téléphone de son sac dans l’intention d’écrire un message.

    -        Tu veux que je t’aide ?

    -        Je veux bien oui. Je ne veux pas lui faire du mal, mais il faut qu’il comprenne que j’ai tourné la page et qu’il n’y a plus de nous. »

    Evan se pencha sur son amie et commença à lui dicter ce qu’elle devrait écrire …


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