• 356

    356

    « Salut, je ne t’ai jamais vu par ici, tu es nouveau ? » Il se retourna et reconnu sa belle-mère, qu’est-ce qu’elle était canon jeune ! Envoûté par sa beauté, il garda la bouche béate.

    « Hellooo ?

    -        - Pardon, se ressaisit-il. Oui, je suis nouveau. Vous êtes du coin, je présume ?

    -        - Un touriste, sourit-elle, vous venez du nord ? Voulez-vous que je vous fasse visiter notre belle cité ? Je connais des coins très discrets aussi. Ah oui quand même, elle ne perdait rien pour attendre… Apparemment, il plaisait toujours aux femmes. Au moins, ça, ça n’avait pas changé. Fier comme un coq, il décida de jouer le jeu.

    -        - Oh je vois, sourit-il. Je serai ravi qu’une si belle personne me fasse une visite privée de l’Atlantide. J’en ai tellement entendu parler ! Mais on avait omis de me mentionner la beauté de ses résidentes.

     

    356

    -        - Liam ? L’interpella Ariane. A son ton, il devina qu’elle était énervée.

    -        - Tu viens ? Renchérit Nogait. Nous avons du chemin, il est temps de partir.

    -        - Dépêche-toi chéri, tu sais que je n’aime pas voyager lorsqu’il fait nuit, continua Ariane. »

     

    356

    A ce mot, « chéri », la femme eut un mouvement de recul.

    « Vos amis vous attendent, je vais vous laisser. Je vous souhaite une bonne journée, au revoir et faites attention sur le trajet. Les voleurs rôdent par ici. »

    Liam la regarda partir déçu. Mais matez-moi ce cul ! Il est parfait !

     

    356

    « Tu me dégoûtes, cracha Ariane une fois que la femme fut assez éloignée. Comme as-tu pu oser ?! Ma propre mère ! La mère de ta copine je te rappelle ! Hé ho ! Sookie ? Tu t’en souviens ? Ma petite sœur !

    -        - Ça va … Sookie n’en aurait jamais rien su …

    -        - Peut-être, mais Vénus s’en s’aurait peut-être rappelé, lui dit Nogait. On ne sait jamais. Nous ne devons pas interférer avec les personnes que nous connaissons dans le futur. On ne sait pas ce qui peut se passer.

     

    356

    -        - Mais non … Arrêtez vos conneries … Mon moi actuel, elle le connaîtra dans 25 ans ! D’ici là, elle m’aurait oublié.

    -        - Tu n’es vraiment qu’un pervers, une bite sur patte. Tu me répugnes. Et que je ne t’attrape pas en train de draguer ma mère de nouveau, je te préviens Liam ! Le menaça-t-elle de son doigt. Sinon, je raconte tout à Sookie quand nous retournerons à notre époque ! Et je pense qu’elle appréciera moyen.

     

    356

    -        - Très bien, très bien, leva-il les bras en signe de défaite. Je ne draguerai personne lors de mon séjour ici. C’est promis. Voilà, tu es contente ?

    -        - Non, mais c’est mieux que rien. Venez les gars, retournons au camp. Liam a assez fait de conneries pour aujourd’hui.

    -        - N’empêche, je comprends tout à fait pourquoi Paris a épousé Vénus, elle est sacrément bonne tout de même ! »

     

    356

    Si Léandre n’avait pas empêché Ariane de se jeter sur lui, qui sait ce qui serait advenu de ce pauvre Liam ? Toutes griffes dehors, elle essayait de l’atteindre au visage mais Léandre la maintenait fermement sous les fous rires de Liam. Nogait était désespéré face à ce spectacle. C’était avec cette équipe qu’il allait sauver le monde ?


    votre commentaire
  • 357

    357

    « Paris ! Peux-tu te joindre à nous s’il-te-plaît ? L’interpela son père, Hadrian Baristan, alors que le jeune homme était sur le point de sortir de la demeure familiale pour rejoindre ses amis.

    -          - Oui ? S’arrêta-t-il net. De quoi s’agit-il ?

     

    357

    -          - Il faut qu’on parle, lui dit Amelia, sa mère, sur un ton solennel. Viens, assied-toi mon chéri.

    -          - Très bien, leur obéit-il en s’installant auprès d’elle. J’espère que c’est important car je suis attendu et …

    -          - Cela concerne Safia, le coupa-t-elle.

    -          - Safia ? Il lui est arrivé quelque chose ?

    -          - Tes fiançailles avec Safia sont rompues, lui apprit sans ménagements Hadrian.

     

    357

    -          - COMMENT CA ?! Rugit Paris en se levant d’un bond. Comment peuvent-elles être annulées ??

    -          - Safia ne souhaite plus se marier avec toi. Lucius m’a appris la nouvelle ce matin, expliqua Hadrian.

    -          - Eas … murmura Paris pour lui-même. C’est sa faute tout ça …

    -          - Que dis-tu mon chéri ? Lui demanda Amelia. Sache, en tout cas, que nous sommes vraiment désolés …

     

    357

    -          - C’est la faute d’Eas Rovanus, Safia est tombée sous son charme, maugréa-t-il. J’ai besoin de prendre l’air, excusez-moi. »

    C’est dans une colère noire que Paris claqua la porte d’entrée de la maison de ses parents. Il avait besoin de se défouler ou boire pour ne plus penser à rien. Déjà qu’ils ne s’appréciaient pas, il avait fallu qu’il lui pique sa fiancée !

     

    357

    Lorsqu’il raconta ses mésaventures à ses amis autour d’un verre, l’un d’eux, Mykonos, lui apprit qu’Eas faisait partie des soldats enrôlés pour faire de la reconnaissance afin de débusquer les voleurs se cachant dans les bois. Apparemment, il soupçonnait un de ses chiens d’avoir violé sa sœur, Thétys.

    C’est ainsi que, dès le lendemain matin, aux aurores, Paris attendait devant la caserne atlante afin de rejoindre la prochaine cohorte. Il avait hâte de retrouver Eas pour lui expliquer sa façon de penser …


    votre commentaire
  • 358

    358

    Les volontaires ne courant pas les rues, le commandant accepta sans problème sa demande. Après s’être équipé, Paris partit avec ses nouveaux camarades dans la forêt bordant la cité. Ils croisèrent sur leur chemin une autre cohorte dans laquelle se trouvaient Eas et son side-kick Loukas. D’un commun accord, leurs sergents décidèrent de rassembler les deux unités.

     

    358

    Eas n’avait pas encore remarqué la présence de Paris dans leur rang. Ce-dernier en profita pour se rapprocher petit à petit de sa cible. Heureusement pour lui, les atlantes ne marchaient pas en rang lorsqu’ils patrouillaient en forêt ce qui lui facilita la tâche.

     

    358

    Enfin arrivé derrière Eas, Paris lui souffla :

    « Alors comme ça, on pique les fiancées des autres ? Ça te dit qu’on aille faire un tour pour en discuter seul à seul ?

    -          - Et la dague c’est pour quoi ? Murmura Eas pour qu’il ne soit que le seul à l’entendre.

    -          - Pour m’assurer que tu me suives sans faire de problème. Aller, décale toi sur la droite, menaça Paris en enfonçant un peu plus sa dague dans le dos d’Eas. »

     

    358

    Ils s’enfoncèrent tous les deux dans la forêt dense. Paris vérifia derrière lui que personne ne les avait vu ou suivi.

    « Bon, qu’est-ce que tu me veux Paris ? Se retourna enfin Eas. Je comprends que tu sois embêté que Safia ait rompu vos fiançailles mais il vaut mieux … »

     

    358

    VLAN !

    Il fut interrompu par le poing de son ennemi de toujours.

    « Tu penses vraiment que tu vas pouvoir m’enlever Safia ? Tu te prends pour qui ? Tu n’es rien … Juste un homme qui se sert de l’ingéniosité de son père pour se sortir du sale trou qu’est sa vie. Sans ton père et son entreprise, tu ne serais rien. Safia ne t’aurais même jamais adressé la parole.

     

    358

    -          - La ferme ! Hurla Eas en lançant à son tour une droite qu’esquiva facilement Paris.

    -          - Ahah ! C’est tout ce que tu sais faire ? J’en attendais mieux de ta part Eas. Je suis vraiment déçu. Au final, tu n’es que paroles et paroles … »

     

    358

    Un combat s’ensuivit. Aucun des deux hommes n’arrivait à surpasser l’autre. Soudain, ils entendirent des hurlements.

     

    358

    S’arrêtant net, ils tendirent l’oreille. Les cris provenaient des soldats atlantes. D’un commun accord, ils décidèrent de mettre leur haine de côté pour secourir leurs compagnons. Ils s’élancèrent en direction des éclats de voix et du bruit que faisaient les armes en s’entrechoquant.


    votre commentaire
  • 359

    359

    Lorsqu’ils arrivèrent, environ 50 voleurs combattaient les atlantes. Sans hésiter, ils se jetèrent à corps perdu dans le combat pour prêter main forte aux atlantes. Au bout d’un temps qui sembla durer une éternité, les atlantes l’emportèrent tant bien que mal. Eas dû reconnaître à contrecœur que Paris se battait très bien. Il l’avait vu sauver au moins une dizaine d’atlantes d’une mort certaine.

     

    359

    « Quelles bandes de chiens ! S’insurgea un des soldats. Ils nous ont attaqué par surprise, c’était une embuscade !

    -          - Ils devaient avoir repéré nos patrouilles depuis un certain temps. Cette attaque était sans aucun doute planifiée, déclara un autre.

    -          - Regardez-moi ce massacre, se désola un grand gaillard. »

    En effet, bon nombre d’atlantes étaient morts ce jour-là.

    « Je suis désolé Eas, lui dit Alexios, un jeune soldat qui lui était très sympathique.

    -          - Quoi ? Ne comprit-il pas. »

     

    359

    Alexios s’effaça de son champ de vision. Derrière lui, à terre, se trouvait Loukas. Une plaie béante sur son torse.

    « Non … »

    Eas ne voulait pas y croire. Ce n’était pas possible. Pas lui …

     

    359

    Il s’agenouilla auprès de son ami et lui prit la tête entre ses mains.

    « Loukas, ouvre les yeux s’il-te-plaît … Tu dois rentrer à la maison avec moi … »

     

    359

    Tandis qu’Eas pleurait son ami, Paris, de son côté, jubilait intérieurement. Ce pauvre gars ne pourra jamais finir son enquête sur le viol de Thétys. Il n’était pas loin de le démasquer mais heureusement pour lui, il succomba à l’attaque surprise des voleurs qui restent les suspects principaux pour ce crime.

     

    _________________________________________________________________________________________________

     

      FIN DE LA MAJ 22 !

     


    votre commentaire
  • 360

    360

    Nos jeunes héros profitaient du silence, seulement marqué par quelques hululements de chouettes et par les légers ronflements de Léandre. Ils dormaient paisiblement dans leur campement de fortune, à même le sol. Le feu de la veille était éteint mais ils faisaient tellement doux à cette heure de la matinée qu’ils n’en avaient cure et dormaient d’un sommeil profond pour la plupart.

     

    360

    Cependant, des pas lourds réveillèrent Nogait qui avait le sommeil léger. Il ouvrit lentement un œil et aperçut avec effroi la lumière de la lune se réfléchir sur la lame d’un couteau. Un homme encapuchonné la tenait et faisait signe à quelqu’un sans faire le moindre bruit. Il se tenait au-dessus d’Ariane … 

    « Hé !! STOP ! Hurla Nogait quand il réalisa le danger de la situation. » 

    Surpris, l’homme au couteau se tourna vers lui. Il n’aurait pas dû car Ariane lui donna un coup de talon bien placé sur le côté de son genou. « Arrggghh, gémit-il sous le coup ». Quatre autres personnes encapuchonnées surgirent de la forêt et se ruèrent sur eux.  

     

    360

    D’un bond, Nogait et Léandre se levèrent et prirent de quoi se défendre. Ils ne trouvèrent rien de mieux que des bouts de bois assez épais pour assommer quelqu’un. Léandre profita de la perte d’équilibre de l’agresseur d’Ariane pour lui donner un gros coup sur l’arrière du crâne. Il en tomba dans les pommes.  

    « Hein ?? Que se passe-t-il ? Marmonna Liam qui avait du mal à se réveiller.  

    • Bouge tes fesses et prend quelque chose qui peut te servir d’arme ! Lui cria Nogait. » 

    • 360

    Ils n’eurent pas le temps d’en dire plus car leurs ennemis arrivèrent. Les jeunes du futur essayèrent tant bien que mal d’esquiver les coups de couteau de leurs assaillants. Quand Nogait fut légèrement coupé, Liam lança à son agresseur une pierre dans l’œil. Ce dernier se plia en deux sous l’effet de la douleur et Nogait en profita pour frapper sa tête aussi fort qu’il le pouvait. L’homme tomba à terre. Plus que trois. 

     

    360

    Léandre se démenait comme un forcené avec deux autres attaquants. Son habileté à manier l’épée lui était pour le moment profitable. Il arrivait sans peine à les maintenir à distance avec son gros bâton.  

     

    360

    Pendant ce temps, Liam lançait des cailloux sur le dernier membre encore debout. Avec un peu de chance, un de ses projectiles se retrouverait logé dans son œil aussi. Mais le voleur, car oui il s’agissait de voleurs ayant survécu au combat avec les atlantes plus tôt dans la forêt, se protégeait avec sa main et aucun caillou n’arrivait à destination. Il s’approchait de plus en plus de Liam qui reculait, tel un chien apeuré, ne sachant plus quoi faire. 


    votre commentaire
  • 361

    361

    Soudain, le voleur s’arrêta net. La lame d’un couteau lui traversait la gorge. Il tomba en avant pour laisser apparaître Ariane derrière lui, le souffle court. Elle avait récupéré le couteau de son premier agresseur. Lorsqu’il avait fait tomber son arme, elle en avait profité pour la récupérer et la lui ficher dans le crâne. En se relevant, elle avait remarqué que Liam était en danger et n’avait pas hésité une seule seconde à lui venir en aide. « Merci, lui souffla-t-il reconnaissant ». 

     

    361

    Ils se tournèrent tous les deux en entendent des gémissements de douleur. Nogait et Léandre frappaient de toute leur force sur les deux derniers voleurs au sol jusqu’à ce que plus aucun son ne sorte de leur bouche. Du sang avait éclaboussé sur eux. Leur regard était vide. Comme s’ils ne réalisaient pas ce qu’il venait de se passer.  

     

    361

    « Prenons tous ce qui peut nous être utile et débarrassons-nous des corps, déclara Ariane. 

    • - Nous ne pouvons pas rester ici, ajouta Nogait. Nous devons partir et établir notre camp ailleurs. 

    • - Très bien, accepta Léandre. Visiblement, ils n’ont que des couteaux et des dagues. Dommage, pas d’épée … 

    361

    • - Non mais vous vous entendez !? S’emporta Liam. Vous êtes sérieux ? Nous venons de tuer des personnes ! Comment pouvez-vous papoter comme si rien ne s’était passé ? 

    • - On comprend que tu sois choqué Liam, compatit Léandre. Mais fait-nous confiance, nous savons ce que nous faisons. Tu n’as qu’à suivre nos directives. 

    • - Je sais que tu n’es pas un guerrier mais tu t’en es bien sorti ce matin. Tu m’as sauvé en jetant ce caillou dans l’œil de cet homme. Je t’en remercie, rajouta Nogait. » 

    361

    Ariane regarda Liam sans rien dire et se mit au travail avec Léandre et Nogait. Liam, sidéré de la façon dont ses amis traitaient ces derniers évènements, leva les yeux au ciel et se demanda en quoi cette quête allait les transformer. Des humains sans cœur ? Dans ce cas, pouvaient-ils toujours se considérer comme humain ? Cette froide détermination dont faisait preuve ses amis lui donnait des frissons.


    votre commentaire
  • 362

    *** 

    362

    Elenwe et Darius pénétrèrent dans la salle du trône où les attendait le roi Axion. Ils s’approchèrent en silence puis le roi leur adressa la parole : 

    « Vous vouliez me voir tous les deux ?  

     

    362

    • - Oui, Monseigneur, s’inclina Darius. J’ai une proposition à vous faire.  

    • - Ah oui ? Il arqua un sourcil, visiblement intéressé. En effet, ce n’était pas tous les jours que ses sujets lui proposaient des idées.  

    • - Je voudrais que le soldat Derek me remplace comme garde personnel de la princesse. C’est un soldat de votre Majesté et également un des meilleurs éléments que je connaisse. Garder la princesse m’ennuie et me fatigue beaucoup. Je préférerai dépenser mon énergie à protéger notre belle capitale, Ambre. Et je ne confierai la protection de votre fille à personne d’autre si ce n’est Derek qui a toute ma confiance. 

    362

    • - Non, répondit simplement le roi. 

    • - Pardon ? S’étonna Elenwe. Mais pourquoi ?  

    • - Comment, Darius, peux-tu remettre en cause ma décision ? S’agaça le roi. Je te fais confiance pour protéger la vie de ma fille. C’est toi que j’ai choisi. Pas ce … Derek. Remets-tu en cause les décisions de ton roi ?! 

    • - Non, je m’excuse de vous avoir offensé. Je resterai le garde du corps officiel de la princesse Elenwe. 

    • - Si c’est tout ce que vous aviez à me demander, vous pouvez disposer. » 

    362

    Darius et Elenwe s’inclinèrent et firent demi-tour. Avant qu’ils ne passent les portes de la salle du trône, le roi Axion les interpela :  

    « Darius ! 

    • - Oui mon roi ?  

    • - Promets-moi que tu ne failliras jamais à ta tâche sous peine de sanction. Suis-je bien clair ? 

    • - Je vous le promets, Monseigneur. » 

     

    362

    Ils quittèrent enfin la salle dans l’intention de rejoindre Derek pour lui apprendre qu’ils avaient lamentablement échoué. Ils attendirent quelques minutes au point de rendez-vous mais il ne vint jamais 

    « C’est bizarre, il est toujours à l’heure à nos rendez-vous. En avance le plus souvent, ne comprit pas Elenwe. » 

     

    362

    Soudain, un garde sonna l’alarme. Inquiets, Elenwe et Darius se dirigèrent en courant vers la porte d’entrée du château.  

    « Que se passe-t-il ? Demanda Darius au soldat qui faisait sonner l’alarme.  

    • - C’est le roi ! Il vient d’être assassiné ! »


    votre commentaire
  • 363

    363

    « Au vu des dires des différents témoins et des preuves que nous avons, nous condamnons le suspect Derek Isildur à mort ! Récita Fawyn, le commandant en chef du roi, en lisant le pamphlet à l’attention du peuple rassemblé dans la cour du château, venu pour connaître la sentence du meurtrier du roi Axion, le bien-aimé. » 

     

    363

    Neeva et Duncan, restés au château, étaient choqués par ce qu’il venait de se passer. A la mort du roi, le château avait été bouclé. Personne n’entrait, personne ne sortait. Et quelques heures plus tard, ils voyaient un soldat du château se faire trainer dans la salle du trône où Fawyn, le père d’Anton, interrogeait le moindre témoin. Il s’avéra que ce fut le meurtrier. 

     

    363

    « Le meurtrier avait le sang de notre roi sur les mains, reprit Fawyn. L’arme, son épée, était cachée dans sa chambre. »


    votre commentaire