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« Laurie lantar yéni lassi sùrinen »

« Ai ve ràmar aldaron ! »

« Yéni ùnoritime sinome, onen i Edain »

« Et maruvan tenn’ Ambarmetta ! »

« Eärello utùlien Endorenna, ù-chebin estel anim »

« Ar Hildinyar … »

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FIN DE LA MAJ 6 !!

Trois se sont écoulés mais vous avez enfin la suite ! Bon je vous averti déjà, la prochaine sera biiiiiiieeeeeen plus longue. 

Cela m'a beaucoup amusé de faire la scène du début avec Eraldion, j'avais le sourire aux lèvres on va dire . D'ailleurs beaucoup de mâles ont été vus à poil ou à moitié dans cette maj ! Eas commence à fantasmer sur Safia qui, finalement, se rend compte qu'elle tient beaucoup à son sauveur, le beau Paris (perso je le trouve magnifique ) ! Mariage en vue ? Que va en penser Eas à votre avis ? On a vu les parents de Safia, son père sera assez important, plus que la mère en tout cas, on a aussi vu la mère d'Eas et Thétys, Paris qui fait sa déclaration ... Du côté des rescapés, Akane passe un sale moment, Galdor est défiguré (à force de se faire tabasser), Fitz est impuissant (le pauvre petit ... è_é), Haldir matte des elfes à poil (serait-il en manque ?), et Androïmus a ouvert les yeux !! Cela veut dire ?? Héhé suite à la prochaine maj ! 

Bisous à tous et n'hésitez pas à laisser des coms pour me dire ce que vous en pensez !

Isiis.

Deliia : Ouais pour les mots j'ai fait vraiment du grand n'importe quoi ! Sinon, beh pour le gars, devine !! Héhé :)

Chupagirl : Franchement Eraldion il a de la chance comparée à Akane ! XDDDDD. Et mon sadisme est loin d'être terminé ! Loin de là !! 

Roucky : Ravie que cela t'ai plu ! XD. Pour la prochaine maj, j'ai les grandes lignes mais pas encore le texte. Là, je me concentre plutôt à terminer la maj de LSR, puis je reprendrai celle-ci ! 

Estelle-4ever : Salut à toi ! Je crois que c'est la première fois que tu commentes sur cette histoire mais merci ! :). Pour toi ils sont chou que quand ils dorment ?? MDR.

            Paris pouvait à présent sortir, prendre l’air frais, revoir le soleil qui lui réchauffer le visage. Il ferma les yeux et huma l’air environnant. C’était le printemps, les fleurs avaient éclo et s’en dégageait une délicate odeur … Paris était très heureux en ce moment même. Les guérisseurs avaient fait des prouesses afin qu’il puisse recouvrer la santé. Pour parfaire à son bonheur, Safia avait maintenu leurs fiançailles et un jour elle l’épousera. En ce moment même, il n’avait qu’une seule envie. Chanter.

Mozart L'opéra Rock - Place je passe !

            Pendant ce temps, Eas était tranquillement assis dehors avec ses deux meilleurs amis. Ils avaient assisté au show de l’aristocrate qui n’hésitait pas à pousser les personnes qui lui barraient la route.

« Vous ne trouvez pas ça bizarre que Paris soit de si bonne humeur ? S’en étonne-t-il.

- Bah écoute faut le laisser rêver un peu. Je ne vois pas ce qu’il y a de mal à ça, hausse des épaules Andreas.

- Surtout qu’il se prend pour un seigneur depuis bien longtemps, ajoute Loukas. Il agit tout à fait normalement je trouve. 

- Mais de là à bousculer les gens …

- Moi je pense que c’est autre chose qui t’inquiète … reprend Andreas avec un sourire moqueur.

- Je ne vois pas de quoi tu parles. Non mais sérieusement. Si c’est toi qu’il pousse comme ça dans la rue devant toutes les minettes du quartier, désigne-t-il de la tête. Tu ferais quoi ? Hein ? Eux, ils n’osent rien faire ! Ils ont bien trop peur de lui !

- Ohlà ! Calme-toi Eas, l’interrompt le blond.

- Il n’y a même pas à y penser car il n’oserait jamais me toucher ! Il sait très bien que je lui mettrai une déculottée voyons ! Non, je pensais plutôt à la petite blonde que tu as hébergé l’autre soir. Comment s’appelle-t-elle déjà ? Saphira ? Non …

- Safia. Elle s’appelle Safia, corrige Eas le regard fuyant.

- Très jolie fille d’ailleurs, reprend Andreas pensivement. Elle n’est pas fiancée à Paris ?

- Oui.

- Je crois qu’il n’a pas très envie de parler d’elle Andreas. Raconte nous plutôt ta soirée toi. Tu ne nous as rien dit !

- Hé hé … Moi … Et bien … ne sait plus où se mettre le beau brun.

- C’est vrai ça ! est ravi de changer de sujet le jeune homme. Je t’ai vu partir avec une fille là, la pote à Courtney qui vient d’arriver … Ça c’est bien passé ?

- Comme d’habitude non ? And’ est un vrai bourreau des cœurs ! sourit Loukas.

- Alors elle est comment ? Lui demande Eas.

- Et bien … On va dire que … essaie de savoir quoi dire Andreas sans qu’ils apprennent qu’il s’est pris un gros vent. Elle … Elle …

- Oui ?? N’en peux plus d’attendre Eas.

- Je … On … On a … Euh … On est allé dans sa chambre … A l’étage …

- Merci de préciser, on sait où sont les chambres je te signale, se moque son ami.

- Oui donc là. On s’embrassait et puis on est allé sur le lit … C’était chaud. Très chaud …

- Et ?

- Et elle m’a mise un vent. Elle a fait en sorte que je me retrouve qu’en boxer et puis elle est parti, me laissant en plan, avoue Andrea les joues rouge ne sachant plus où se mettre.

- Ah ! C’est pas vrai ! En rigole Eas. Toi ! Andreas ! Tu t’es fait mettre à poil par une fille et tu n’as pu rien faire ? Elle s’est barrée ?! J’y crois pas !

- Non, j’étais en boxer, corrige-t-il.

- Il fallait bien que ça t’arrive un jour non ? Sourit Loukas.

- Ouais mais non, je ne suis pas d’accord, râle le brun. »

Loukas continua de narguer Andreas sur son aveu mais Eas ne les écoutait que d’une oreille. Il pensait à la belle jeune femme blonde qu’il avait aidé lors de l’anniversaire de Paris. Il se souvint que dans son regard, il n’avait lu que douleur et frayeur. Il n’avait donc pas hésité une seule seconde et s’était interposé. Alors pourquoi Paris était si heureux aujourd’hui ? Normalement, il devrait être dégoûté car Safia ne voulait sûrement plus le voir ! Bizarre tout ça …

            Non loin de là, Dan était en compagnie d’un des membres du conseil. Ce-dernier lui avait demandé plus tôt dans la journée de venir marcher avec lui. Dan respectait énormément Lucius Artertis, et il devait bien avouer qu’il l’intimidait. Depuis tout à l’heure, les deux hommes n’avaient dit mot et cela embêtait le jeune terrien qui avait autre chose à faire que de se promener toute la journée.

« Vous vouliez me dire quelque chose commandant ? Ose-t-il enfin prendre la parole.

- Je voulais attendre que l’on soit dans les quartiers pauvres pour pouvoir discuter tranquillement, explique Lucius.

- Pourquoi donc ? Ne comprend pas le jeune homme.

- Mes soldats m’ont rapporté qu’ils n’ont vu aucun dégât sur les murs de l’enceinte de la cité. Les voleurs de la nuit dernière n’ont pas pu rentrer par là. On leur a donc ouvert les portes.

- Ça veut dire que … a bien peur de comprendre Dan.

- Cela signifie qu’il y a un traître parmi nous, termine le commandant. Mais ce qui m’inquiète aussi c’est que la nuit soit tombée si vite.

- Vous pensez que cela a un rapport avec leur incursion ?

- Oui. Et c’est pour ça que j’ai besoin de toi. Peux-tu m’éclairer ? Lui demande Lucius.

- Et bien, rassurez-vous. Dans mon monde, cela s’appelle une éclipse, c’est un phénomène astrologique. Par contre, elle ne dure pas si longtemps normalement. Peut-être est-ce du au fait que vous ayez deux soleils.

- Mais pourquoi est-ce à ce moment précis qu’ils ont décidé d’intervenir ? Essaie de savoir le père de Safia.

- Soit ils étaient au courant, soit c’est une pure coïncidence … 

- Eh Dan ! appelle Courtney, Eric sur ses talons.

- Oui ? Dit-il en se retournant.

- On peut savoir pourquoi le nombre de garde a augmenté à la périphérie de la ville ?

- Ainsi que les patrouilles dans la cité, ajoute Eric.

- C’est moi qui en ai donné l’ordre, répond Lucius.

- Ah … ne sait plus quoi dire la jeune femme.

- Il se passe quelque chose commandant ? S’enquiert Eric.

- On peut leur dire ? Demande Dan au père de Safia.

- Allez-y. Et faite une annonce sur la place pour trouver des volontaires, lui ordonne-t-il en commençant à partir.

- Des volontaires pour quoi ? S’en étonne le brun.

- Pour aller débusquer ces voleurs qui ont attenté à la vie de ma fille ! »

            Aux alentours de midi, tout le monde était prévenu et se dirigeait vers la place centrale de la cité. Ce n’était pas souvent qu’on leur faisait une déclaration officielle et généralement, ce n’était pas très bon signe …

« Salut tout le monde, commence Dan une fois que tout le monde fut arrivé, je pense que vous avez tous remarqué les patrouilles qui augmentent et il y a une raison à cela. Hier après-midi, quand la nuit est tombée si tôt, des voleurs ont réussi à s’introduire dans notre cité ! Le commandant Artertis a donc décidé d’envoyer une … pour aller en capturer quelques-uns ! S’ils ont réussi une fois à entrer, ils pourront recommencer et menacer vos vies ainsi que celles de vos enfants ! Nous devons apprendre par quels moyens ils sont arrivés jusqu’ici pour empêcher que cela se reproduise ! Nous faisons appel à vous pour vous porter volontaire. Qui veut être de la partie ?!

- On accepte ! Déclare Eraldion. Avec Eris, nous vous sommes infiniment reconnaissants de toute l’aide que vous nous avez apporté et je trouve ça normal de participer à la défense de la cité ! Nous irons voir nos compagnons pour décider quels seront les volontaires pour aider.

 - Nous aussi ! Ajoute Andreas. On veut savoir ce qu’ils nous veulent exactement. Nous en avons assez de leurs attaques incessantes et il faut que cela cesse !

- Oui ! On veut défendre notre cité ! interviennent d’autres atlantes.

- A mort les voleurs ! Il faut tous les tuer ! hurlent des hommes fou de rage.

- C’est vrai ça, ils n’hésitent pas à nous massacrer dès qu’ils en ont l’occasion ! On va faire pareil !!

- Du calme … Nous ne devons pas verser le sang. Nous nous contenterons de les capturer. Si ce que vous souhaitez c’est obtenir vengeance, ce n’est pas la peine de venir, déclare calmement Dan.

- Mais ils ont égorgé ma fille alors qu’elle ne faisait que cueillir des fleurs à l’extérieur ! Elle ne faisait rien de mal ! Crie un homme, la voie tremblotante.

- Je sais tout ça, je sais tout ce que vous avez perdu … Mais on va le faire à notre manière et si vous le souhaitez, on le jugera une fois que l’on saura ce qu’on a besoin.

- Je veux participer aussi ! lance Ioreth.

- Non Ioreth, tu ne devrais pas. Tu viens à peine de te rétablir de tes blessures … essaie de le convaincre Eraldion. Je veux que tu restes ici.

- Non Eraldion, refuse-t-il. Je suis un combattant avant tout. J’ai besoin de sortir d’ici et de voir la forêt. Elle me manque …

- Mais …

- Il n’y pas de mais. Je viens c’est tout. Fin de la discussion.

- Il a raison Eraldion, intervient Eris. Nous les elfes, on a besoin de voir, de ressentir la forêt. Cela fait assez longtemps que nous sommes enfermés ici. Une petite sortie ne nous ferait que du bien.

- Très bien. A deux contre un, je ne peux rien faire … Accepte à contrecœur le prince. En effet, il doute de l’efficacité de l’elfe en cas de problème après ce qu’il a vécu …

- Elfwyne, je te charge de surveiller les autres pendant mon absence, je peux compter sur toi ?

- Oui, bien sûr, sans problème !

- Merci.

- Courtney et Eric vous resterez ici, je ne veux pas qu’il vous arrive quoique ce soit, leur demande Dan.

- Non ! Je veux venir !

- C’est hors de question Courtney, refuse catégoriquement son ami. C’est trop dangereux.

- Il a raison, essaie de la résonner Eric. On ne leur servirait à rien si ce n’est les ralentir …

- C’est vraiment n’importe quoi, râle Courtney en rebroussant chemin. »

Le soir même, Dan, Eric et Courtney ont invité le prince et ses amis, à manger ensemble, hors de la cité, au clair de lune. Ils voulaient profiter pleinement de cette soirée avant de partir à la « chasse aux voleurs » le lendemain. Le repas avait été excellent, des grillades accompagnées de pomme de terre, le tout, arrosé de vin et autres alcools. Certains n’ayant pas l’habitude de boire autant, se livraient pour la première fois ou, pour la plupart du temps, disaient de grosses conneries. 

Eraldion écoutait très attentivement ce que racontaient les trois terriens. Leur monde avait l’air d’être incroyable ! Où les hommes pouvaient voler, aller plus vite que les chevaux, aller sous l’eau indéfiniment et om ils avaient même réussi à marcher sur la lune ! En Terre du Levant, chez lui, ils seraient considérés comme de puissants mages !

Eris avait l’air enchanté de ce qu’elle entendait. Eraldion ne l’avait jamais vu aussi radieuse qu’à cet instant. Il devait bien admettre qu’elle était beaucoup plus jolie ainsi. Son regard s’attarda sur son énorme décolleté … Avant de finalement se ressaisir. En même temps, pourquoi elle s’habillait de cette façon si ce n’était pas pour attirer le regard des hommes de l’assistance ? 

« Et attends ! s’exclame Dan, raconte leur la fois où toi et tes copines vous aviez mis de l’œstrogène dans la boisson énergisante d’un dénommé Derek ! Qu’est-ce qu’il vous avait fait déjà le pauvre ?

- Ah ah ! Je m’en souviens comme si c’était hier ! répond joyeusement Courtney. Oh pas grand-chose … Il avait rempli les pommeaux de douche de farine des vestiaires des filles, ce qui fait qu’en les allumant en sortant de notre cour de sport, on s’est tout pris dans la gueule. Bien entendu, il nous attendait à la sortie, l’appareil photo à la main.

 - Ah oui c’est vrai, vous aviez des têtes magnifiques en plus, intervient Eric qui était dans le même lycée que la jeune femme. En tout cas, ça lui a fait du bien votre potion. Il avait la voie d’une fille et marchait en roulant du cul sans s’en rendre compte ! Qu’est-ce qu’il a eu honte lors du match de foot ! Il a même demandé à sortir du terrain ! ajoute-t-il.

- Ca lui a quand même servi de leçon ! Est ravi de son coup Courtney, il n’a plus recommencé à nous faire chier après ! 

- Euh, excusez-moi, mais j’ai peur de ne pas avoir bien tout saisi … Qu’est-ce que ‘œstrogène’, ‘boisson énergisante’, ‘pommeaux de douche’, ‘appareil photo’ et ‘foot’ ? Demande Eleheim.

- Si j’étais toi, je laisserai tomber, leur monde à l’air bien trop compliqué, déclare Arturo. Racontons plutôt une bonne histoire sur notre prince … Comme sa première fois par exemple qui fut très distrayante !

- Malheureusement, je ne connaissais pas encore le prince à cette époque, mais je serais ravi de l’entendre ! Explique l’elfe aux cheveux blancs.

- Euh moi non, j’ai pas envie … essaye de le dissuader Eraldion.

- Alors … Commence Arturo, c’était il y a de cela … quoi … 6, 7 ans ? Notre petit prince et son ami Elfwyne avaient très hâte de perdre leur pucelage avec une femme ayant de l’expérience. En effet, quoi de mieux que d’être vraiment près, lors de l’acte avec sa petite-amie de l’époque ou de la jeune fille dont on était amoureux ? Nos deux jeunes amis sont donc allés dans une maison close pour satisfaire tous leurs désirs et apprendre l’art du sexe… 

- … Mais ils avaient malheureusement oublié l’heure de l’entraînement et c’est Faramir qui les trouva finalement, en plein ébat avec des femmes qui avait deux fois leur âge. Le bon père d’Elfwyne entra dans une colère noire et les tira tous les deux hors de cette maison par les oreilles. Je peux vous avouer que nous avions une vue imprenable sur le corps de ces deux zigotos et ils ont été forcés de s’entrainer à poil.