Sortons bras dessus, bras dessous et n'ayons crainte

De leur vile arrogance

Allons chez les bourgeois siffler leur vin

Taquiner les consciences que m'importent les rires et les regards

Sur mes travers, ils sont ma richesse, mon étendard, ils sont ma terre !

Tatoues-moi sur tes seins, fais-le du bout de mes lèvres. Je baiserai tes mains, je ferais que ça te plaise ! 

Tatoues-moi sur tes murs, un futur à composer. Je veux graver toutes mes luxures, sur tes dorures. 

Te tatouer sans mesure ...

Laisse-toi tomber dans mes bras

Glisse-moi sous tes draps, Dérivons jusqu'à outrance.

Chantons pour les bienséants, les délices de l'indécence. 

Tatoues-moi sur tes seins, fais-le du bout de mes lèvres !

Je baiserai tes mains, je ferai que ça te plaise

Tatoues-moi sur tes murs, un futur à composer. Je veux gravers toutes mes luxures sur tes dorures ...

                Mais alors qu’Andreas allait commencer à prendre du bon temps avec la jeune femme, celle-ci se leva d’un coup et s’extirpa du lit sans dire un mot.

« Euh … Eris ? ne comprend-t-il pas.

- Oui ? demande-t-elle tout sourire.

- Beh … Qu’est-ce que tu fais ?

- Et bien, je m’en vais, cela ne se voit pas ?

- Mais … On ne devait pas …

- Non, désolé, pas envi … Sur ce, ciao ! le coupe-t-elle en sortant de la chambre, fière de s’être jouée de lui.

- Alors pourquoi tu m’as fait ça ? Maugrée le jeune homme.

- J’avais juste envie de m’amuser, hausse des épaules Eris. Dommage pour toi, je crois que la fête est terminée, tu ne pourras pas te trouver une fille ce soir ! » Non, mais qu'est-ce qu'il croyait ce zigoto ... Qu'elle allait lui donner sa première fois ? Il pouvait rêver !

Andreas était totalement dégoûté de s’être fait manipuler de cette façon par une simple arriviste. Lui, le grand séducteur de ces dames, se serait fait tout bonnement berné et il n’avait rien vu ! Maintenant, il n’avait plus qu’à aller prendre une bonne douche froide …

                C’est fatiguée, que Safia rentra à l’intérieur de la villa dans l’intention d’aller se coucher, mais d’abord, il fallait qu’elle aille dire au-revoir à son fiancée. En effet, hier soir, alors qu’il l’avait invité chez lui, elle et sa famille, il lui avait fait sa demande. Emue, elle ne savait pas quoi faire mais elle ne sait pour quelle raison, elle avait accepté. Et juste après, la prenant à part, ses parents lui ont appris que, de toute façon si elle avait refusé, il était prévu depuis leur arrivé dans cette ville qu’il se marie. En résumé, c’était un mariage arrangé et elle n’était pas au courant.

Elle remerciait Paris, cependant, d’avoir petit à petit essayé de la conquérir, même en sachant qu’elle lui était déjà acquise. Au moins, il souhaitait qu’elle l’aime comme il est et non la brusquer. Mais Safia n’était pas amoureuse, elle éprouvait juste un petit attachement envers lui. Avec le temps, peut-être que cela s’améliorera …

En pénétrant dans la pièce où elle était sûre qu’il s’y trouvait, elle regretta tout de suite d’avoir eu un quelconque attachement pour cet homme qui ne se gênait pas pour coucher avec la première catin venue.

C’était donc des gémissements, hurlés haut et fort, qu’elle entendait depuis quelques minutes. Avec le brouhaha que faisait les invités alors qu’ils partaient, elle n’avait su le discerner. Il était vrai qu’elle l’avait vu lui tourner autours lors de la soirée, mais elle ne le pensait pas capable de la tromper alors qu’ils venaient juste de se fiancer.

« Oh mon Dieu ! » s’écrie-t-elle complètement chamboulée par ce qui se déroulait sous ses yeux. En ce moment même, tout ce qu’elle désirait par-dessus tout, c’est de ne jamais être venue en Atlantide avec ses parents et d’être restée dans sa petite ville natale.

« Sa…Safia ?? » bafouille Paris, ne sachant pas quoi faire. Il venait de se faire prendre comme un vulgaire gamin par sa mère, en train de coucher avec une fille dont il ne se souvenait plus du nom mais qui l’attirait indéniablement. Il avait donc cédé à la belle et là, tout de suite, il s’en mordait les doigts. Il tourna la tête pour voir le visage décomposé de sa fiancée qui finalement le regarda avec dédain avant de faire demi-tour. 

« Safia ! Attends !! » L’interpelle-t-il. Mais rien n’y faisait, elle faisait la sourde oreille et marchait aussi vite qu’elle pouvait. Plus elle s’éloignait de lui, mieux se serait. 

« Arrête-toi, ordonne Paris. Laisse-moi t’expliquer …

- Ça ne sert strictement à rien, cingle-t-elle, j’ai tout compris, et tu peux être sûr que je te rendrai la bague quand je serai de meilleure humeur !  

- Hé hé, attends … Tu ne peux pas me faire ça hein ? Je suis désolé, je ne savais pas ce que je faisais, j’ai trop bu et elle m’a sauté dessus. Je suis un homme avant tout ! … Hein ? Essaie-t-il de se rassurer.

- Un vrai mec, quand il a une fiancée, ne saute pas sur tout ce qui bouge ! Peste Safia.

- Ecoute, continue-t-il sans lâcher sa main, je suis prêt à tout pour m’excuser. Dis-moi ce que je dois faire, mais ne me laisse pas … Je t’en prie …

- C’est trop tard, fallait réfléchir avant de la sauter, crache la jeune femme.

- Bon, ça suffit ! Élève-t-il la voie. De toute façon tes parents ne seront jamais d’accord ! Ils ont fait un marché avec les miens, alors on garde cette histoire entre nous et tout redeviens comme avant, c’est clair ?!

- Non mais tu te prends pour qui à me parler sur ce ton-là ? S’énerve-t-elle. Je ne suis pas une esclave ! Et je refuse de me marier avec un homme qui me trompe dès qu’il en a l’occasion ! Alors maintenant tu vas me lâcher ! TOUT DE SUITE ! répète-t-elle voyant qu’il ne faisait pas ce qu’elle lui demandait. 

- Espèce de … C’est moi l’homme ici, tu n’as rien à dire !

- T’es plutôt qu’une paire de couille oui !

- Tu … Si tu n’étais pas ma fiancée, je t’aurais mis une bonne paire de claque !

- Encore heureux ! Après le coup que tu viens de me faire !!

                Eas était tranquillement en train de finir son verre quand il entendit la dispute venant des deux jeunes gens. Tout d’abord, il avait écouté le sujet de leur désaccord et avait compris que Paris avait couché avec une femme, ce que lui reprochait Safia avec qui il avait fait connaissance quelques heures plus tôt. 

« Mais tu vas me lâcher oui ! ordonne-t-elle à son interlocuteur.

- C’est hors de question !

- Arrête ! Tu me fais mal ! »

Eas voyait bien que Paris était très très énervé, et il avait peur qu’il fasse quoique ce soit à la jeune femme qui pourrait lui faire du mal. Le ton montait de plus en plus fort jusqu’à ce que de sa main gauche, il lui donna une gifle. Le son résonna dans toute la cours intérieure tellement il avait frappé fort. 

Safia quant à elle, ne montrait pas qu’elle avait eu mal, elle gardait les lèvres serrées et essayait tant bien que mal de se libérer de l’entreprise du brun beaucoup plus fort qu’elle.

Eas serra ses poings d’en l’intention d’aller lui dire deux mots à ce rustre. Mais comment pouvait-il frapper une femme, quel homme était-il devenu ? Déjà qu’il ne l’appréciait pas, là, ça n’allait pas arranger les choses !

Il se dirigea machinalement vers eux sans savoir encore ce qu’il allait faire. Il devait réfléchir bien soigneusement avant de faire quoique ce soit qui pourrait du tort à sa famille. Son père ne le pardonnerait jamais …

« Lâche-la ! Tout de suite ! Grogne Eas.

- Va voir ailleurs si j’y suis ! cingle Paris. »

Comme le jeune homme ne bougeait toujours pas et resté sur place, le brun daigna le regarder pour lui ordonner de dégager.

« Quand tu la laisseras partir, je m’en irai mais pas avant. Alors maintenant fais ce qu’elle te demande ou je vais me fâcher. »

Pour toute réponse, Paris ricana : « Non mais tu rêves, j’espère ! Cette histoire ne te concerne pas, alors retourne jouer avec tes chiens qui te servent d’amis et laissent parler en adulte »

Safia tourna sa tête vers lui et du regard, lui fit comprendre de ne pas la laisser seule avec l’aristocrate. Voyant que celui-ci resserrait sa prise, ce qui fit gémir de douleur la jeune femme, Eas perdit son contrôle et le poussa sans ménagement.

« Connard, l’insulte Eas, comment oses-tu la traiter comme ça ! Elle ne t’appartient pas à ce que je sache ! Elle est du même rang que toi, alors respecte-la putain !

- Va te faire foutre, enfoiré. Tu as osé lever la main sur moi ?

- Je ne t’ai même pas frappé, mais si tu continues, c’est ce que je vais faire … Menace-t-il. 

- Eas ? l’appelle timidement Thétys. Que se passe-t-il ? Elle aussi avait été attirée par le tapage qu’avait provoqué la dispute.

- Rien, l’affaire est réglée. N’est-ce pas Paris ?

- Rah ! Tu ne perds rien pour attendre ! Tu as de la chance qu’on soit en présence de deux femmes, sinon, tu aurais passé un sal quart d’heure, crois-moi ! rage Paris. 

- C’est quand tu veux ! le provoque Eas. De toute façon, tu ne l’emporteras pas sur moi ! Tu es peut-être un peu plus grand mais c’est tout ! 

- Venez Safia, dit-il en lui prenant le bras pour ainsi l’éloigner de son fiancé. On doit vous raccompagner chez vous ?

- Je … Je ne préfère pas … Avoue-t-elle.

- Elle n’a qu’à dormir avec moi ! propose Thétys.

- Cela vous convient ? Demande Eas à la jeune femme.

- Oui, oui … Merci beaucoup … Accepte-t-elle.

- C’est normal, je n’allai pas le laisser vous frapper à nouveau."

Paris était extrêmement énervé … et blessé face à l’affront que venait de lui faire ce nouveau riche. Et il lui ferait payer un jour … Oui … Il allait souffrir et il viendra le supplier de lui pardonner. Rien qu’à cette pensée, Paris eu un sourire diabolique. 

Il ne manquait plus qu'à mettre son plan en place …

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FIN DE LA MAJ 5 !!

Après quatre mois, la maj est enfin arrivée ! Et ouais, à l'IUT il faut beaucoup travaillé ce qui fait que j'ai beaucoup moins de temps, surtout que l'ordi sur lequel se trouve les sims se trouve chez moi et non là où je fais mes études ! Mais pour me pardonner, je vous ai fait une très grande maj !

D'ailleurs, qu'est-ce qu'il s'est passé déjà ? Ah oui, le grand retour des disparus qui ont été recueilli par les atlantes ! Bon, Dwalin est à déplorer, mais bon c'est la vie. Ensuite, Akane, Fitz et Galdor ont bien été enlevé mais par qui et pourquoi ? Voyons, si vous le devinerez ... En tout cas, Galdor se prend tous les coups pour le moment ! Et finalement, Anton ne s'était qu'endormi, rien de grave ! Mais il réagit bizarrement depuis vous ne trouvez pas ? Andreas qui se prend un vent phénoménal par Eris, et Eas qui vient au secours de la belle Safia, si c'est pas beau ça ? Et Eraldion dans tout ça ? Suite dans la prohaine maj ! XD

Bisous à tous et n'hésitez pas à laisser des coms pour me dire ce que vous en pensez !

Isiis.

Petit cadeau (ils sont pas beaux tous les deux ? ) :

Cassylee : Mouhaha, il fallait trop qu'il lui arrive un truc de ce tyle à notre petit Andreas pour le calmer ^^. Oh, tiens Paris c'est un c*nnard ? Bizarre ... Pourtant il n'a pas autant mérité cette haine que tu lui portes ! XD. Et tu peux avoir peur pour la suite héhéhé ... Ils ont pas fini de souffrir mes sims ! 

ChupaGirl : Merci beaucoup !!! :)